Nous avançons à
grands pas grâce à la physique quantique.
Les
recherches, alliant physique quantique, ingénierie électrique, chimie et
biologie, sont particulièrement pertinentes, car elles pourraient donner
naissance à des thérapies entraînant beaucoup moins d’effets secondaires que
les médicaments. Or, ces recherches confirmeront ce que « savent » déjà, sans
l’avoir réalisé, le scientifique et le non-scientifique : tout organisme, y compris
l’humain, communique avec son environnement et le décode en évaluant les champs
d’énergie. Comme l’humain dépend étroitement des langages parlé et écrit, il a
négligé ses senseurs d’énergie en tant que système de communication.
Comme
pour toute fonction, le non usage mène à l’atrophie. Les aborigènes utilisent
encore quotidiennement cette fonction hypersensible, et il n’y a pas chez eux
d’atrophie sensorielle. Ainsi, ils sont capables de sentir l’eau enfouie
profondément dans le sable. Quant aux chamans de l’Amazonie, ils communiquent
avec l’énergie des plantes médicinales. Vous avez déjà eu, à l’occasion, un
aperçu de cet ancien mécanisme sensoriel. Par exemple, vous est-il déjà arrivé
de marcher dans une rue sombre la nuit et de vous sentir soudainement vidé de
toute énergie ? Que pensez-vous avoir ressenti ? Tout simplement une
interférence « destructive », comme les cailloux déphasés dans l’eau.
Dans
le jargon populaire, il s’agit de mauvaises vibrations, d’ondes négatives. Vous
est-il déjà arrivé aussi de rencontrer inopinément une personne et d’être, au
contraire, énergisé au point d’avoir l’impression de « planer » ? Dans ce
cas, vous avez ressenti une interférence constructive, c’est-à-dire de bonnes
vibrations ou des ondes positives. Quand j’ai abandonné l’idée que nous sommes
faits de matière inerte, j’ai non seulement compris que la science où je
faisais carrière était dépassée, mais aussi que je devais favoriser davantage d’interférences constructives
dans ma propre vie.
J’avais besoin d’une mise au point quantique dans ma
propre vie. Au lieu de m’employer à créer des énergies harmoniques dans ma
vie, je vivais en dispersant mon énergie sans réfléchir. C’était un peu comme
chauffer une maison en plein hiver tout en gardant portes et fenêtres grandes
ouvertes. J’ai donc commencé à fermer ces portes et ces fenêtres en observant
soigneusement où je gaspillais mon énergie. Certaines portes furent faciles à
fermer. Ce fut le cas quand je décidai de mettre un terme aux activités épuisantes,
dont les mortelles soirées de faculté. Il me fut par contre plus difficile
d’abandonner mon défaitisme habituel, tout aussi épuisant. Comme nous le
verrons au prochain chapitre, les pensées consomment autant d’énergie qu’un
marathon.
BIOLOGIE ET CROYANCES.
….
Comment est-il possible que l’esprit surpasse le programme génétique, comme
dans ce cas-là (cas du Dr Mason et du patient souffrant d’une maladie génétique
mortelle)… le médecin ne le savait pas, a pensé que c’était des verrues, a
soigné le jeune homme avec l’hypnose en pensant que c’était des verrues, et le
jeune garçon a été guéri de sa maladie. Il n’a plus jamais pu recommencer, car
ensuite il « savait » qu’il ne pouvait pas guérir. En quoi la croyance de
Mason en son traitement a-t-elle pu influencer sur le résultat ? La nouvelle
biologie fournit quelques réponses à ces questions. Nous avons vu que la
matière et l’énergie sont enchevêtrées. Il en découle logiquement que l’esprit
(énergie) et le corps (matière) sont liés de façon similaire, bien que la
médecine occidentale ait vaillamment tenté de les séparer depuis des centaines
d’années. Au 17ième siècle, Descartes rejeta l’idée que l’esprit puisse avoir
une quelconque influence sur le corps. Selon lui, le corps physique était fait
de la matière concrète et l’esprit, matière non identifiable mais clairement
immatérielle. A défaut d’identifier la nature de l’esprit, Descartes abandonna
l’énigme philosophique suivante impossible à résoudre : Si seule la matière
peut agir sur la matière, comment un esprit immatériel peut-il être « relié » à
un corps matériel ? L’esprit non physique que voyait Descartes fut communément
appelé le « fantôme dans la machine » par Gilbert Ryle, dans son livre « The
concept of Mind », publié en 1949.
Poursuivre
la lecture ici : http://channelconscience.unblog.fr/2015/02/06/la-biologie-des-croyances/
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.