Porté à votre conscience par Arcturius,
A cette heure de la fin d’un été brûlant où beaucoup retiennent leur
souffle face à l’attente de l’Évènement, où les banquiers se demandent comment
ils vont parvenir à survivre dans un monde qui leur échappe totalement dans la
mesure où le système financier mondial lui-même est à l’arrêt depuis des mois,
du moins où les marchés sont artificiellement tenus en survie sur base d’un chaos
ingérable pour éviter la propagation de ce même chaos défavorable à l’Ennemi,
mais générateur d’illusions au yeux du monde, où toutes leurs tentatives se
résolvent en échauffourées se retournant contre leur « metteur en
scène » alors que les gens sont de moins en moins dupes de ce qu’on leur
fait subir, peut-être est-il temps aussi pour tout un chacun de faire le point
sur sa propre situation, sur son propre positionnement.
À cette heure, quelque
part consacrée davantage au silence qu’à l’action, au lâcher-prise et au
renoncement aux acquis parmi les plus encombrants de sa vie
« d’avant » selon le paradigme ancien qui n’en a plus que pour une
infime parcelle de temps avant de mourir à tout jamais, peut-être est-il enfin
temps de choisir en pleine conscience ce que l’on veut vraiment, vraiment, en
soignant enfin ses peurs d’un lendemain qui n’existera nulle part ailleurs
qu’en soi-même.
Alors que la grogne monte chez certains quand d’autres jettent l’éponge
par désespoir, alors que les politiciens ne savent plus où donner de la tête
pour assouvir les besoins et les envies de qui les paient cher pour favoriser
les lois qui les favorisent eux et eux seuls, faisant de ce monde une
lobbycratie qui fait de vous tous son cheptel, alors que se révolter par des
actes de violence reste lettre morte, où la lutte pacifique n’a que rarement
fait bouger les choses sans que l’Ennemi ne retombe sur ses pattes d’une
manière ou d’une autre, peut-être est-il temps de s’arrêter, de s’affirmer et
s’affermir intérieurement, de faire ses choix, de s’en remettre à plus Haut que
soi mais en soi et non venant du ciel, qu’il s’agisse d’un « Dieu »
issu de croyances implantées dans les esprits par l’Ennemi, ou qu’il s’agisse
d’extraterrestres dont la venue a été imaginée par l’Ennemi aussi.
Peut-être
est-il temps de se laisser partir de ce monde et de le laisser partir aussi, de
le laisser s’enfuir de soi comme laisser la vie s’enfuir de lui sans se
retourner, sans un regard en arrière et sans regrets, de n’investir que sur le
présent pour espérer pouvoir efficacement se créer soi-même son propre avenir
dans le monde qui suit, et sans espérer que quiconque d’autre que vous le fasse
pour vous car vous ne serez jamais aussi bien servis que par vous-mêmes.
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