Transmis par Joeliah le 21 - octobre - 2016
Bianca Gaïa/Diane LeBlanc : Alors que nos
vibrations s’élèvent et que nous ressentons l’énergie circuler de plus en plus
en nous-même et dans nos vies, comment se fait-il que nous nous sentions encore
obligés d’assurer notre sécurité matérielle par la force de notre labeur… même
si nous savons que les ressources de l’Univers sont illimitées et que ce sont
nous qui créons la réalité qui nous entoure?
Pour la plupart de gens, la vie est comme un jeu de
société : soit l’on gagne, soit l’on perd. C’est ce qui fait que l’on s’affaire
sans cesse à trouver des solutions pour ne pas avoir l’impression de perdre…
Perdre son temps, perdre sa sécurité, sa « qualité de vie », perdre le sens de
son existence, perdre sa vie, point final!
C’est donc la peur de « se » perdre qui nous motive
à vouloir « gagner sa vie », c’est à dire travailler comme un malade pendant
plus de 30 ans, en espérant récolter un pactole pour se la couler douce une
fois la retraite arrivée…
Et, pour certains, ça marche bien! Arrivés à 60, 65
ou même 70 ans, ils peuvent enfin se retirer de la vie active pour s’accorder
une pause, disons-le, fort méritée. Or, ce moment coïncide souvent avec le
début de la dégénérescence du corps : le vieillissement semblant correspondre
avec l’apparition de multiples problèmes de santé… bien souvent dus aux
programmations internes soit de « culpabilité » (je ne sers plus à rien), ou
encore d’oisiveté (ma vie ne fait plus de sens)…
Et nous revoilà encore
affectés par le sentiment de «perdre» quelque chose d’important ou de précieux:
notre propre valorisation personnelle.
C’est un cycle sans fin qui nous maintient dans
l’illusion de devoir « prouver » que l’on mérite d’exister : si je « gagne »
bien ma vie, c’est un signe que j’ai de la valeur aux yeux de la société. Tant
pis si mon quotidien, ma santé, ma famille et ma vie sociale en souffrent :
c’est pour mieux me reprendre « plus tard »… si je me rends jusque là !
Pourtant, à l’échelle planétaire, nous savons que
seuls les humains ont besoin de « payer » pour avoir le droit de s’installer
quelque part et y créer son nid. Les plantes poussent dès qu’il y a un espace
libre, les animaux élisent domicile dans leur milieu naturel sans effort et
même, jusqu’à il y a quelques centaines d’années, les deux tiers de la
population mondiale vivaient sans argent, des fruits de la chasse, de la pêche
et de la culture locale.
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