QUElQUES Définitions
Des observateurs avisés
dénoncent, depuis quelques années déjà, ces fameuses traînées blanches
suspectes qu’ils ont baptisées « chemtrails » (de l’anglais chemical
trails : « traînées chimiques »). Selon eux, il s’agirait
d’épandage de produits chimiques destinés à des manipulations climatiques.
L’objectif avoué est de tenter de limiter les effets du réchauffement
climatique. Un autre objectif moins avouable se profile toutefois derrière
celui-ci : un objectif militaire, qui serait de tester la possibilité de
pulvériser sur certaines régions des produits destinés à anéantir une
population… le stade des tests est même probablement dépassé.
Il est vrai qu’une certaine
opacité règne sur le sujet et il n’est pas aisé de s’en faire une idée exacte.
Toutefois, les rumeurs sont tenaces et d’étranges phénomènes sont observés
autour des avions et de leurs traînées de condensation. Sans céder à la panique
devant un phénomène à propos duquel nous nous sentons impuissants, il est
important de chercher à savoir ce qui se trame dans nos cieux. Voici quelques
éléments pour mieux comprendre.
LA GEO-INGENIERIE
Le concept de
« géo-ingénierie » a été forgé dans les années 1970. Il se fondait à
l’époque sur l’idée que nous pourrions utiliser des énergies fossiles sans
émission de CO2 en capturant d’abord le carbone contenu dans les
combustibles fossiles. Il rassemblait des moyens permettant de générer des
produits énergétiques sans carbone, comme de l’électricité et de l’hydrogène,
en séquestrant le CO2 provenant des formations géologique sou de
l’océan. Puis, le terme a été élargi à tout ce qui désigne les efforts visant à
stabiliser le système climatique en surmontant l’effet de serre ou le
réchauffement planétaire, et à gérer directement le bilan énergétique de la
Terre.
Différentes techniques ont été
retenues pour ce concept :
- La mise en place de bâches réfléchissantes dans les déserts.
- Le positionnement de miroirs à l’aide de satellites dans l’atmosphère. L’instigateur de ce projet est le professeur Roger Angel, soutenu par la NASA. Le pionnier de cette technologie fut le Docteur Eastlund. Son travail a été parrainé par ARCO, grand producteur d’aluminium détenu par la British Petrolum. Ces miroirs de l’espace permettraient d’atténuer les rayons du soleil et donc de diminuer la température de la terre. Les chemtrails contiennent eux aussi de grandes parties de particules d’aluminium.
- La plantation de végétaux dont les feuilles réfléchiront la lumière solaire.
- La fertilisation des arbres avec du nitrogène (ancienne définition de l’azote). Résultat de ce « doping », les arbres seraient capables d’absorber plus de dioxyde de carbone et de réfléchir plus de lumière.
- La pulvérisation d’aérosols que l’on nomme chemtrails, un moyen de créer une sorte de bouclier chimique filtrant une partie des rayons du soleil et permettant ainsi de diminuer l’indice UV. Pour la plupart d’entre nous, les chemtrails contribueraient au contrait à favoriser le réchauffement climatique, car les nuages artificiels provoqués par les épandages de nuit, majoritaires, bloqueraient les radiations infra-rouge renvoyées dans l’atmosphère.
- La fertilisation de l’océan Austral. En effet, selon Victor Smetacek, il suffirait de déverser du sulfate de fer dans le sillage d’un tanker dans cette zone du globe pour permettre le développement d’algues planctoniques capables de stocker d’impressionnantes quantités de carbone provenant du CO2 dissous dans l’eau. Mais les conséquences écologiques n’ont pas été étudiées.
- La réduction de l’acidification des océans en dispersant du calcaire sur leurs fonds.
UN TEMOINGNAGE ETRANGE
Un mécanicien raconte :
Habituellement, aucun mécanicien ne veut travailler sur les pompes, les
réservoirs, et les canalisations servant à stocker les détritus des toilettes.
Le mois dernier, j’ai été appelé à travailler sur un avion d’une autre
compagnie aérienne. Quand j’ai reçu l’appel , l’agent technique d’exploitation
ne savait pas quel était le problème. J’ai découvert que le souci était dans le
système de traitement des détritus. Je n’avais rien d’autre à faire que ramper
dedans et arranger le problème.
Quand je suis entré dans le
compartiment, quelque chose ne collait pas. Il y avait là plus de réservoirs,
de pompes et de canalisations qu’il n’en fallait. J’ai d’abord supposé que le
système avait été modifié. Pendant que j’essayais de trouver le problème, j’ai
rapidement réalisé que la tuyauterie et les réservoirs supplémentaires
n’étaient pas reliés au système de traitement des ordures. Je venais juste de
découvrir cela quand l’un des mécaniciens « habitués » est arrivé.
Tandis que je partais, je l’interrogeais sur l’équipement supplémentaire. Il
m’a dite de « me préoccuper de la partie d’avions qui me concernait et de
le laisser se décarcasser avec la sienne ».…/…
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