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lundi 8 septembre 2014

La culpabilité: poison hautement toxique



Publié par Lydia le 8 sept, 2014 sous CHRONIQUES, DIVIN COMME LES AUTRES, Lydia, MANCHETTES

bonne_foi  


Par Lydia

On peut dire que les prévisions énergétiques de septembre sont en train de se réaliser, nous sommes encore bombardés de lumière et comme toujours, celle-ci va jusque dans les bas fonds de notre personnalité.

Mais comme tout est harmonie, elle amplifie aussi la connexion à l’âme, au divin.

Ce qui peut donner l’impression d’être tiraillée entre ciel et terre.

Les libérations amènes des révélations et une forme de maitrise se met en place.

Je n’ai pas fait de cauchemars malgré le documentaire sur la pédophilie mais je sens qu’il y a eu du travail de fait cette nuit. J’ai peiné à atterrir et je suis contente de constater que mes premières pensées n’étaient pas chargées de peur, d’ennui ou quelque chose de ce genre.

Des guérisons s’opèrent en profondeur et c’est comme si tout se calait sur une nouvelle fréquence toujours plus élevée. Il y a un effet vertige et la depuis hier soir, mon estomac se régénère, digère le passé que la vidéo m’a fait revivre émotionnellement. Physiquement, ça se traduit par une diarrhée. Très souvent, c’est un symptôme qui survient lors d’une peur subite et j’en ai souffert très souvent dans ma vie. Maintenant, je le considère comme quelque chose de normal qui exprime les libérations effectuées hier après midi.

Regarder des horreurs n’a aucun intérêt si c’est pour se faire des frayeurs mais si c’est une occasion de libérer le passé, ça s’avère très efficace. Je sens bien que j’ai passé un nouveau cap dans le processus de guérison.

Très souvent, au réveil, je revisite les événements marquants de la veille pour venir habiter mon corps à nouveau et en général, ce sont les scènes douloureuses ou celles qui ont soulevé des questions, qui se manifestent en premier.

Là, rien de tout ça, comme si tout ce que j’ai vécu hier, avait fini d’être intégré pendant la nuit.

Le fait de parler à l’enfant intérieur, et en l’occurrence, à l’enfant qu’on a été, c’est littéralement regarder ses peurs en face et cet acte courageux, est « récompensé », enfin disons que c’est une conséquence logique de la responsabilisation, par une élévation vibratoire, si les émotions sont accueillies sans jugement, avec compassion.

Selon la vibration sur laquelle on observe le passé, celui-ci est libéré avec plus ou moins de facilité et d’efficacité. C’est comme si la guérison ne pouvait se faire qu’à un certain niveau d’élévation.

Je désigne par élévation vibratoire les fréquences d’amour telles que la compassion, la gratitude, la reconnaissance…

Si on arrive à être totalement dans le cœur pendant qu’on accueille les émotions, elles sont transmutées en un clin d’œil.

J’insiste sur le taux vibratoire parce que cette connaissance nous libère de la notion de bien et de mal, de punition et de récompense, et c’est par l’accueil de ses ombres qu’on peut comprendre l’obsolescence de cette notion crée par le mental, l’ego.

Dès qu’on considère quelque chose ou quelqu’un par ce prisme, il s’ensuit un jugement qui fait dégringoler le taux vibratoire de la personne qui porte ce regard, mais ça n’a rien à voir avec la moral, c’est énergétique, physiologique.

Poursuivre la lecture ici : http://lapressegalactique.net/2014/09/08/la-culpabilite-poison-hautement-toxique/