Publié par Bertrand Duhaime le 22 sept, 2014 sous Bertrand
Duhaime, CHRONIQUES,
MANCHETTES, SPIRITUALITÉ
AU QUOTIDIEN
Cliché énergétique du 20 septembre 2014
Continuerez-vous à douter que les énergies de la transformation ne cessent d’augmenter, maintenant que, au cours des derniers jours, dans le retard de leur assimilation, le corps de tant d’entre vous a ressenti tant des maux aussi étranges qu’inattendus, allant de l’étourdissement aux nausées, passant par des dérèglements cardiaques, des sensations musculaires lancinantes, des problèmes aux articulations et de grandes douleurs au milieu de la poitrine, alors que votre centre coronal poursuit sa fusion avec votre centre cardiaque?
Mais ces malaises s’accompagnent encore d’une répugnance pour les activités spéculatives comme les discussions, d’un grand dédain pour la violence qui a cours dans le monde, d’une démotivation pour toute quête purement matérielle et toute activité mondaine au-delà de la nécessité de répondre à vos besoins de survie et d’assumer les contingences du quotidien. Autrement dit, en général, vous vous contentez d’être au mieux dans l’attente que se produise quelque chose de plus en résonance avec vos aspirations profondes, ce qui ne pourra cependant se produire que dans la mesure que vous apprendrez à aimer tout ce qui vous arrive dans la conscience que toute expérience, agréable ou désagréable, contribue désormais à votre initiation et à votre élévation.
Vous poursuivez votre parcours effréné sur la Voie rapide de l’ouverture de la conscience. Ainsi, même les gens qui, il y une semaine, croyaient pouvoir continuer de contrôler les événements et de se la couler douce se sont soudainement retrouvés plongés, malgré eux, devant de nombreuses tâches à accomplir, forcés de rencontrer de nouvelles gens, de relever de nouveaux défis, de considérer de nouvelles idées ou, même, de donner une nouvelle direction à leur vie. Mais, sous plusieurs rapports, ils doivent convenir qu’ils considèrent cette mise en mouvement, qui les propulse vers l’avant, comme purement bénéfique, puisqu’elle permet à de nouvelles informations dont ils avaient un urgent besoin d’entrer, à des projets de progresser de façon notable, à des nouveaux venus pouvant assurer que le plan de leur âme avance de se présenter. Ainsi, la plupart se découvrent soudainement au cœur d’un changement profond.
En revanche, plus d’un peuvent encore se buter à divers délais d’exécution, en raison des fortes entraves et des obstacles temporaires qu’ils doivent surmonter. Par exemple, des gens peuvent négliger de se présenter à temps à un rendez-vous qu’ils leur ont fixé, des articles qu’ils ont commandés peuvent ne pas s’apparier ce qui impose une relance, des matériaux de construction peuvent ne pas faire partie d’une livraison, à moins que, soudainement, leurs affaires ne se mènent plus de la manière habituelle, ou que des problèmes de santé ne surgissent au beau milieu d’une situation pourtant normale, les forçant à s’arrêter et à réfléchir à leur état.
Même sur la scène du monde, il s’est présenté des événements tout aussi intéressants qu’intrigants. Vous pouvez penser au référendum historique relatif au destin politique de l’Irlande qui, dans l’attisement de peurs ataviques, a amené les citoyens à préférer l’avoir à l’être en se repliant dans leur vieux système de sécurité, celui du maintien de leur allégeance à la Grande-Bretagne. Partout dans le monde, des volcans, des géants endormis, commencent à s’éveiller dans des rugissements plus ou moins sourds. Au Mexique, voilà que la partie septentrionale de la côte du Pacifique vient d’être ravagée par deux ouragans consécutifs. En France, l’ancien président Sarkozy tente de refaire surface en briguant de nouveau l’investiture comme chef de son ancien parti politique. En fait, c’est partout dans le monde que cela bouge, amenant d’anciennes alliances à tenter de se renouer et de nouvelles alliances à se nouer.
Dans cette liste, à Hawaï, notamment, un flot de lave constant déferle sur la Grande Île de cet archipel du Pacifique, menaçant de régions habitées comme le petit village de Pahoa, en isolant au surplus la partie sud-est. Sauf que, malgré que certains groupes de citoyens aient revendiqué l’intervention du gouvernement, pour qu’il explore des manières de contrer ce phénomène naturel d’envahissement, le consensus général penche vers le respect de la volonté de Pélé, la Déesse du Feu et des Volcans, considérant qu’il s’agit d’abord de son territoire.
Surtout, dans une certaine dispersion, diverses de vos relations s’effritent et, chez vos proches, vos rangs deviennent de plus en plus clairsemés. Chacun joue à l’individualiste et s’écarte, se concentrant sur sa propre vie, ce dont il faut confirmer qu’ils ont un grand besoin. Mais cela peut donner l’impression à plusieurs que, soudainement, tout le monde les fuit ou s‘esquive, les abandonnant à leur sort, ce qui est effectivement le cas.
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