Quand une idée est diffusée dans un groupe social structuré,
elle se répand comme une traînée de poudre, de manière exponentielle. Et,
arrivée à un certain seuil critique, cette idée se reproduit et se propage d’elle-même.
La théorie de Rupert Sheldrake sur les champs
morphiques corrobore en partie le phénomène du centième singe, en y apportant
une hypothèse d’explication.
Les conséquences possibles de cette théorie sur
l’effet que nous pouvons avoir autour de nous par les propres changements que
nous introduisons dans notre vie à un niveau individuel, peuvent porter à
croire que notre responsabilité, au niveau de notre comportement individuel,
donc l’importance de ce que nous faisons, pourrait être fondamentale pour
parvenir à changer les mentalités et les comportements à plus grande échelle
dans le monde, ou du moins, dans la communauté ou société dans laquelle nous
vivons.
À lire sur : https://resistanceauthentique.wordpress.com/2016/06/01/la-theorie-du-100e-singe-et-les-champs-morphogenetiques/
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