Encore une longue nuit où j’étais en pleine conversation au moment du
réveil !
Je recommence à poser mes mains sur mon ventre qui semble se déchirer de
l’intérieur. J’en ai parlé à ma mère hier, de ce nouveau réflexe qui consiste à
utiliser ses mains pour se faire du bien, soulager les douleurs. J’ai été très
surprise qu’elle ne rigole pas mais au contraire me confie qu’elle le faisait
aussi !
Finalement, c’est tout à fait logique puisque les mains sont le
prolongement du cœur et que l’énergie d’amour a le pouvoir de guérir,
restructurer, apaiser…et pour couronner le tout, je trouve ce matin, le message
qui suit, de Lee Harris.
Plus nous serons nombreux à prendre conscience de notre pouvoir créateur
donc pouvoir d'auto-guérison aussi, plus nombreux nous serons à prendre la
responsabilité de notre monde intérieur et plus l'énergie de guérison et de
puissance amoureuse se répandront sur la planète faisant du rôle de la victime,
un vieux souvenir. La souveraineté implique d'être responsable de soi encore
faut-il être conscient de qui nous sommes réellement.
Celui ou celle qui cesse de nourri des égrégores de peur, d’impuissance,
participe non seulement à sa propre guérison mais en fait bénéficier son
entourage proche ou lointain, par rayonnance, par les fréquences qu’il
émet.
Je pourrais fuir cette douleur en prenant un médicament, en me forçant à
sourire, en faisant diversion…, mais je choisis de la regarder en face, de
la ressentir pleinement tout en « envoyant », par l’intermédiaire de
mes mains, l’amour inconditionnel, « l’énergie amour » sur mon passé,
sur les traumas de l’enfance, les traumas sexuels, le féminin intérieur, les
histoires d’amour tragiques, l’inconscient collectif féminin…
Bref plutôt que de nourrir l’égrégore de « souffrance
obligatoire » en occultant ces mouvements intérieurs, je les accompagne
jusqu’à ce que l’énergie circule à nouveau. Ce qui me montre que c’est réalisé,
c’est la fin de la douleur ou tout au moins sa diminution, en même temps que
les pensées deviennent bienveillantes, vis-à-vis de mon corps physique.
Un genre de compassion me remplit et une douce chaleur est ressentie au
niveau du cœur, des mains et aussi du ventre.
Il est bon de commencer par « purifier » le mental, libérer
les croyances d’illégitimité, de petitesse, de victime…
Ce n’est pas parce que les parents ou l’entourage nous ont donné
l’impression de n’être rien ou pas grand-chose, qu’il nous faut le
croire !
Bien que ça semble évident, ça n’est pas si facile à mettre en
pratique.
Je parle continuellement de l’amour qui guérit, de l’importance vitale
de s’aimer vraiment, de s’accepter en totalité parce que c’est le moyen de
réfuter les fausses croyances. Non seulement on élève son taux vibratoire mais
l’amour de soi permet à l’amour en soi, d'augmenter, de se diffuser, de
rayonner et ainsi de restaurer ce qui a besoin de l’être.
J’ai encore oublié la séance de connexion avec Monique Lapointe, hier.
Ce n’est pas faute d’avoir publié un article pour rappeler la date et
l’heure ! Je me dis que si j’ai oublié, c’est que ça n’était pas
essentiel, d’autant plus que je me connecte directement à l’âme, la présence,
la source, la Terre Mère…
Un intermédiaire est utile si on n’a pas l’habitude de se parler,
d’écouter son ressenti, son intuition mais quand on veut comme moi, devenir
autonome à tous les niveaux, il est primordial de puiser dans ses propres
ressources et de créer une intimité avec le divin intérieur tout comme avec
l’enfant intérieur.
Ces deux aspects séparés par nos croyances en la dualité (opposition),
sont totalement interconnectés et tous deux indispensable au bon déroulement de
l’expérience de l’incarnation.
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