La politique identifie la manière d’exercer
l’autorité dans un État ou une société. C’est l’art et la pratique du
gouvernement des sociétés humaines. En psychologie, probablement avec
raison, on décrit l’engagement politique comme une sublimation de
l’exhibitionnisme, comme un élan de l’hostilité œdipienne, car il ne tarde pas
à ne plus se fonder que sur l’arrivisme, la quête du pouvoir et l’ambition, non
sur la recherche du bien commun.
Les gouvernants des sociétés, comme les chefs
d’état, les ministres, les députés, les maires et les conseillers, ne sont que
des maillons, parfois inconscients, toujours manipulables à souhaits, d’un
Gouvernement occulte, savamment structuré et orchestré qui fonde sa volonté de
domination et d’asservissement sur la connaissance de tout ce qui cause les
déséquilibres humains. Ce Gouvernement établi par le pouvoir de l’argent
mise essentiellement sur les doutes, les peurs et la léthargie des gens, perdus
dans l’illusion d’acquérir un surcroît de bien-être, pour se maintenir dans les
coulisses.. Ainsi, l’Humanité apparaît comme une armée d’automates pour
laquelle tout a déjà été pensé. Elle vit dans un monde où la plupart des
lois restrictives pénalisent l’ensemble de la société en raison de la présence
d’une infime minorité de criminels.
Des gens, cachés derrière les grandes entreprises
et les banques cherchent à uniformiser le genre humain par l’entretien de la
morosité générale et l’injection d’une fausse culture, pour l’asphyxier lentement.
Les gens, de mentalité grégaire, se laissent enrôler dans des comportements de
consommation et de résignation dès qu’ils oublient de rayonner l’amour.
En marge de la Lumière spirituelle, ils ne cherchent que le plaisir. Du
pain et des jeux pour le peuple et vous le gardez sous votre coupe.
Alors, chacun accepte de polluer le monde de pensées brouillonnes et dénuées
d’espoir.