Publié par LaPresseGalactique.org le 14 mai,
2014 sous DÉCOUVERTES
Le territoire à vendre abritait les Glyphes de Gosford, situées près de Kariong, à peu près à 60 km au nord de Sydney. Ce site comporte des hiéroglyphes peu connus sculptés à la façon « Égypte antique », mis en lumière par plusieurs chercheurs depuis les dernières décennies.
Nous sommes convaincus que tout près de ce site, et jamais vus auparavant par des non-Aborigènes depuis leur très récente découverte, se trouve une plateforme rocheuse comportant une série de gravures sacrées d’importance considérable. Sur cette grande plateforme, nous avons vu un poisson, un serpent, un dauphin ou une baleine énorme, des cercles ainsi qu’une diversité de formes et de symboles.
Il s’agit sans aucun doute d’une impressionnante galerie d’art rupestre antique Aborigène qui mérite d’être protégé. Il y a une gravure grandeur nature de Durramullan (fils de l’Esprit de la création Biamie) qui est tellement singulière, totalement inattendue et manifestement sacrée, que des décisions ont dû être prises sur la manière de la qualifier publiquement.
Rien ne se rapproche de cela ailleurs en Australie, c’est tout. C’est tout ce que nous avons convenu de révéler. Les photographies prises tard dans l’après-midi sur ce site, et en particulier celles de Durramullan, ne devraient pas être reproduites ou publiées par quelque média que ce soit mais…
En raison de la réelle possibilité que ce territoire puisse être vendu (bradé) et ensuite acquis, indépendamment des intervenants pour ou contre les Glyphes de Gosford, une approche différente s’avère indispensable.
Nous avons convenu d’adopter une position de catégorisation en nous répartissant tous les sites et reliques « trouvés dans un rayon de 2 heures de Sydney » mais cette approche générale ne s’applique pas à cet endroit. Ces gravures et les autres plateformes connexes (l’une est en fait située à l’intérieur de cette zone) sont désormais directement menacées.
La distance entre ce site unique et celui des Glyphes de Gosford est bien trop proche pour être expliquée par une coïncidence ou par commodité. Pour ce qui est de déterminer l’authenticité de ce supposé site Égyptien, nous disposons d’un avantage. D’après le Dr. Hans-Dieter von Senff, qui a rédigé une ébauche de document sur le site :
« Ces hiéroglyphes sont réels et existent en Australie depuis au moins 4500 ans. De telle sorte que cela prouve que ces glyphes proto-Egyptiens ne sont pas des graffiti, comme l’ont soutenu divers « Experts » et « Egyptologues » mais les traces écrites laissées par l’homme préhistorique, rédigées dans un langage cohérent et compréhensible qui a toujours du sens, même 4500 ans plus tard. Ce terrain n’est pas un canular, mais une découverte archéologique véritable, comme le prouvera la seconde série de glyphes récemment découverte.
À lire sur : http://lapressegalactique.net/2014/05/14/des-glyphes-antiques-decouverts-en-australie-pourraient-reecrire-lhistoire/