Se soigner avec la musique et le son
Les anciens déjà
utilisaient la musique et le son pour guérir. Aujourd’hui, la musicothérapie et
les concerts de bols chantants tibétains rencontrent un réel engouement.
Points sur leurs vertus thérapeutiques et harmoniques :
En 2009, l’Opéra du
Rhin a donné à Strasbourg un unique récital de chant pour les personnes
atteintes de la maladie d’Alzheimer.
L’an dernier a eu lieu au centre de culture asiatique Les Temps du Corps, un
concert de bols taoïste auquel assistaient des médecins chinois.
De nouvelles études ont mis en évidence les bienfaits de la musicothérapie, qui
fait son entrée, encore de manière anecdotique, à l’hôpital, dans les
maternités.
Tandis que les concerts de bols chantants tibétains et de cristal se
multiplient…
Zoom sur les vertus thérapeutiques de la musique et du son !
A l’origine déjà
De tous
temps, l’humanité a investi l’aspect guérisseur de la musique.
Tambour des chamans, bols chantants des moines tibétains, ragas
indiens…
Les hommes ont utilisé le son pour libérer les blocages et les disharmonies
qui pouvaient les affecter.
Les indiens d’Amérique jouaient de la flûte en bois de bouleau pour soigner les
rhumatismes, et en Ellébore pour les maladies nerveuses.
En Chine ancienne, le chef de l’orchestre impérial était un médecin,
compositeur d’œuvres thérapeutiques.
Dans la Grèce antique, les médecins grecs se référaient à la gamme
pythagoricienne pour la classification des différents pouls.
Une bonne musique pouvait donc conduire l’âme agitée vers l’ordre et
l’intégration, et inversement vers le désarroi.
En France, c’est Philippe Pinel, le fondateur de la psychiatrie, qui, au tout
début du XIXème, introduisit la musique dans les asiles (chœurs, fanfares,
concerts).
Pour les praticiens actuels de musicothérapie, une discipline d’art thérapie,
le corps humain est comme un instrument de musique, une véritable caisse de
résonance avec son ossature, sa musculature, ses cordes vocales, qui vibre au
diapason de ce qui l’entoure.
Et plus spécifiquement encore à la musique.
Lire la suite sur : http://changera.blogspot.ca/2014/05/sante-vertus-therapeutiques-de-la.html
Points sur leurs vertus thérapeutiques et harmoniques :
L’an dernier a eu lieu au centre de culture asiatique Les Temps du Corps, un concert de bols taoïste auquel assistaient des médecins chinois.
De nouvelles études ont mis en évidence les bienfaits de la musicothérapie, qui fait son entrée, encore de manière anecdotique, à l’hôpital, dans les maternités.
Tandis que les concerts de bols chantants tibétains et de cristal se multiplient…
Zoom sur les vertus thérapeutiques de la musique et du son !
Tambour des chamans, bols chantants des moines tibétains, ragas indiens…
Les hommes ont utilisé le son pour libérer les blocages et les disharmonies qui pouvaient les affecter.
Les indiens d’Amérique jouaient de la flûte en bois de bouleau pour soigner les rhumatismes, et en Ellébore pour les maladies nerveuses.
En Chine ancienne, le chef de l’orchestre impérial était un médecin, compositeur d’œuvres thérapeutiques.
Dans la Grèce antique, les médecins grecs se référaient à la gamme pythagoricienne pour la classification des différents pouls.
Une bonne musique pouvait donc conduire l’âme agitée vers l’ordre et l’intégration, et inversement vers le désarroi.
En France, c’est Philippe Pinel, le fondateur de la psychiatrie, qui, au tout début du XIXème, introduisit la musique dans les asiles (chœurs, fanfares, concerts).
Pour les praticiens actuels de musicothérapie, une discipline d’art thérapie, le corps humain est comme un instrument de musique, une véritable caisse de résonance avec son ossature, sa musculature, ses cordes vocales, qui vibre au diapason de ce qui l’entoure.
Et plus spécifiquement encore à la musique.