Prisonnière de la physique newtonienne qui considère
l’univers comme une mécanique, la médecine allopathique, mécaniste elle aussi,
ne prend même pas en considération notre mental lorsqu’elle parle de la guérison.
Il est pourtant prouvé qu’un tiers des guérisons médicales est dû à l’effet
placebo (capacité du mental à changer l’état de notre santé).
Ce qu’on sait moins, en revanche, c’est qu’il
existe aussi un effet nocebo : si les pensées positives ont beaucoup de
pouvoir, les pensées négatives en ont elles aussi. Or, les psychologues nous
disent que 70 p.cent des pensées de leurs patients sont négatives,
autolimitantes et répétitives (je ne vais pas bien, je ne peux pas, ce n’est
pas pour moi, je ne mérite pas cela, je n’ai pas assez d’argent, je suis
nul(le), je suis bête, incapable, je suis moche, trop gros(se), trop maigre,
etc. ) …
On pourrait penser qu’il suffit d’entretenir dans
notre mental des pensées positives (de réussite, d’abondance, etc.) pour que
tout aille bien dans nos vies. Le problème c’est qu’entretenir des pensées
positives ne suffit pas pour que celles-ci se concrétisent dans la réalité.
Dans ce processus, il y a en effet une pièce manquante sans l’intervention de
laquelle la pensée positive reste inopérante. En fait, nous avons un conscient
et un subconscient et, tandis que nous entretenons des pensées positives, nous
oublions que c’est notre subconscient qui mène la danse puisqu’il contrôle 95
p.cent de notre organisme, tel un processeur, un programme bien plus puissant
que le conscient. La première des choses à faire est donc de prendre conscience
de ce subconscient et de trouver un moyen de changer le programme qu’il diffuse
dans notre être à longueur de temps.
Lire la suite du texte sur : http://channelconscience.unblog.fr/2015/05/03/limportance-des-pensees-et-des-emotions-pour-notre-sante/
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.