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dimanche 3 mai 2015

L’importance des pensées et des émotions pour notre santé

cyu



Prisonnière de la physique newtonienne qui considère l’univers comme une mécanique, la médecine allopathique, mécaniste elle aussi, ne prend même pas en considération notre mental lorsqu’elle parle de la guérison. Il est pourtant prouvé qu’un tiers des guérisons médicales est dû à l’effet placebo (capacité du mental à changer l’état de notre santé).

Ce qu’on sait moins, en revanche, c’est qu’il existe aussi un effet nocebo : si les pensées positives ont beaucoup de pouvoir, les pensées négatives en ont elles aussi. Or, les psychologues nous disent que 70 p.cent des pensées de leurs patients sont négatives, autolimitantes et répétitives (je ne vais pas bien, je ne peux pas, ce n’est pas pour moi, je ne mérite pas cela, je n’ai pas assez d’argent, je suis nul(le), je suis bête, incapable, je suis moche, trop gros(se), trop maigre, etc. ) …

On pourrait penser qu’il suffit d’entretenir dans notre mental des pensées positives (de réussite, d’abondance, etc.) pour que tout aille bien dans nos vies. Le problème c’est qu’entretenir des pensées positives ne suffit pas pour que celles-ci se concrétisent dans la réalité. Dans ce processus, il y a en effet une pièce manquante sans l’intervention de laquelle la pensée positive reste inopérante. En fait, nous avons un conscient et un subconscient et, tandis que nous entretenons des pensées positives, nous oublions que c’est notre subconscient qui mène la danse puisqu’il contrôle 95 p.cent de notre organisme, tel un processeur, un programme bien plus puissant que le conscient. La première des choses à faire est donc de prendre conscience de ce subconscient et de trouver un moyen de changer le programme qu’il diffuse dans notre être à longueur de temps.


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