L’homme cherche depuis toujours à s’affranchir des travaux pénibles.
Il invente des machines, propose des systèmes, énonce des principes, dans le but de dépenser moins d’énergie corporelle pour accomplir sans peine ses activités matérielles. Ces machines utilisent essentiellement, pour démultiplier l’énergie humaine, des ressources puisées dans le sol de notre planète. Ces ressources s’épuisent et l’on n’exploite que depuis peu les énergies renouvelables, soleil, vent ou marémotrice, moins rentables à court terme…
Les premiers précurseurs, dans le sens le plus large du terme, sont oubliés dans les limbes du passé. Le peintre, sculpteur, architecte et ingénieur italien, Léonard De Vinci (1452-1519) nous a laissé l’étude d’un perpetuum mobile.
La physique nous démontre, avec le principe de conservation de l’énergie que ces mouvements perpétuels mécaniques étaient assurément voués à l’échec.
Depuis, des mécaniciens, horlogers, chimistes, électriciens, bricoleurs, ingénieurs, simples manuels ou diplômés des hautes écoles de leur temps, se sont essayés courageusement à concevoir les constructions les plus inventives avec pour objectif d’obtenir la surunité : c’est-à-dire produire plus d’énergie que le système n’en consomme.
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