De 1920 à 1984, les églises du Canada ont tenu des écoles pour enfants indiens Mohawk. Pendant cette période, il y aurait eu 20 à 30% de mortalité par an. Un pur génocide qui jusqu’à ce jour n’a pas été reconnu. Pourtant, selon Kevin Annett, Secrétaire du Tribunal pénal international pour les crimes de l’Église et des États ( www.itccs.org ), le « Mohawk Institute » a été « mis en place par l’Église anglicane d’Angleterre en 1832 afin d’emprisonner et de détruire des générations d’enfants mohawks. Cette toute première École résidentielle indienne au Canada a été ouverte jusqu’en 1970, et, comme dans la plupart de ces écoles résidentielles, plus de la moitié des enfants emprisonnés ne revinrent jamais. Beaucoup d’entre eux sont enterrés tout autour de l’école. »
Un balayage radar préliminaire du sol adjacent au bâtiment principal du « Mohawk Institute » a révélé que les corps ont été enterré «entre 15-20 pieds (4-5mètres) dans le sol» juste avant que le « Mohawk Institute » ferme en 1970 afin de camoufler les tombes des enfants mohawks et éviter les poursuites pour génocide et crimes contre l’humanité en vertu des Conventions de Genève…
Le Tribunal pénal international pour crimes de l’Église et des États a prévu de commencer les procédures judiciaires à partir de fin Octobre 2011 à Bruxelles, en Belgique et à Dublin, en Irlande pour les crimes-génocide d’enfants contre les défendeurs Elizabeth Windsor, chef de l’État du Canada et à la tête de l’Église d’Angleterre ainsi que le pape Joseph Ratzinger, qui auraient tous deux participé sciemment à la planification et à la dissimulation du génocide des enfants, selon les preuves médico-légales.
La découverte des ossements enterrés des enfants mohawks s’ajoute au témoignage filmé par un témoin oculaire William Coombes, qui, en octobre 1964 a vu Elizabeth Windsor, en tant que chef d’État du Canada et chef de l’Église d’Angleterre, visiter une école autochtone de Kamloops, en Colombie-Britannique, choisir 10 jeunes enfants autochtones, leur faire baiser ses pieds. Elles les auraient ensuite amenés près de l’école pour un pique-nique près d’un lac… Les 10 enfants autochtones n’ont jamais été revus. M. Coombes, qui devait donner la preuve devant le Tribunal international pour les crimes de l’Eglise et des États des génocides d’enfants a été assassiné en février 2011.
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