Un climat d’incertitude et de confusion règne à Londres,
deux jours seulement avant le lancement du nouveau fixing de l’argent – qui a
été baptisé le "prix de l’argent de Londres".
Le Financial Times mentionnait la nuit dernière l’incertitude qui plane au-dessus du fixing de Londres, lancé il y a déjà 117 ans :
"Mettez-le en place et ils viendront.
C’est du moins ce que les participants au marché de l’argent de Londres au 1,6 trillion de dollars annuel espèrent.
Nous n’avons plus que trois jours ouvrables à attendre avant que le remplacement électronique du fixing de Londres soit lancé, et des doutes planent encore au sujet de l’identité de ceux qui y participeront vendredi".
Puisqu’il n’existe pas de compensation centralisée pour les marchés des métaux précieux, les utilisateurs initiaux du nouveau repère de prix devraient selon certains être les onze teneurs de marché membres du LBMA, dont Crédit Suisse, JPMorgan, Goldman Sachs et UBS.
Le Financial Times mentionnait la nuit dernière l’incertitude qui plane au-dessus du fixing de Londres, lancé il y a déjà 117 ans :
"Mettez-le en place et ils viendront.
C’est du moins ce que les participants au marché de l’argent de Londres au 1,6 trillion de dollars annuel espèrent.
Nous n’avons plus que trois jours ouvrables à attendre avant que le remplacement électronique du fixing de Londres soit lancé, et des doutes planent encore au sujet de l’identité de ceux qui y participeront vendredi".
Puisqu’il n’existe pas de compensation centralisée pour les marchés des métaux précieux, les utilisateurs initiaux du nouveau repère de prix devraient selon certains être les onze teneurs de marché membres du LBMA, dont Crédit Suisse, JPMorgan, Goldman Sachs et UBS.