Transmis par Joeliah le 19 - août - 2014
Le compost est là pour transformer la pourriture en
bon engrais, à condition de lui donner le temps de cette transformation
alchimique et ne pas manger ce qui est dedans… ce qui, ne semble pas si évident
et évitable pour beaucoup d’humains…
L’éveil de conscience pour instaurer un nouveau
paradigme sur Terre, passe par un changement de comportement en permettant à
l’homme de devenir plus respectueux et responsables. Pourtant, actuellement, de
nombreux entrepreneurs n’hésitent pas à amplifier le phénomène de la
dégradation volontaire des aliments après l’obsolescence programmée.
C’est là que la notion ‘argent pourri’ prend tout son sens ainsi que la notion de serviteur du mal, au détriment de l’argent béni… qui peut permettre tellement de bonnes choses à partager…
Des milliers de personnes, réfléchissant sur la
meilleure façon de détourner, travaillant dans ces usines ou étant simplement
des consommatrices non avisées, trop pressées ou s’en moquant, sont ainsi
les servantes du mal-être sans s’en rendre compte ou pensant ne rien pouvoir
changer dans leur vie.
Que faire ? Sinon faire des choix concrets plus
conscients, ‘amoureux’ et ‘respectueux’ de la vie ?…
Et surtout prendre du temps pour visualiser avec foi et en paix un monde vraiment meilleur.
« Dégrader le produit »
Pour les produits alimentaires, le moyen le plus efficace de réduire les coûts est de modifier la recette pour économiser sur les matières premières.Il s’agit de remplacer les ingrédients onéreux par des matières premières moins nobles, ou de doser différemment les ingrédients de la composition pour abaisser le coût de revient – très discrètement.
Les professionnels appellent cela « dégrader le produit ».
Cela consiste, à réduire la quantité de saccharose pour augmenter la dose de sirop de glucose, remplacer les bonnes graisses par des huiles végétales hydrogénées, de l’amidon, de la gomme de guar, augmenter le volume en rajoutant de l’eau et du gluten pour faire gonfler, et donner l’illusion à l’acheteur qu’il en a plus pour son argent.
Des entreprises spécialisées « aident » les industriels à cela, comme par exemple la société Chamtor, qui explique sur son site Internet :
« Les sirops de glucose employés en biscuiterie permettent de fabriquer des biscuits secs de qualité tout à fait comparable à celle des produits à base de saccharose.
L’utilisation de sirops riches en maltose permet d’améliorer la qualité des biscuits tout en augmentant le taux de substitution du saccharose (gain économique) sans risque de coloration excessive. Le H-MALTOR 70/80 donne des biscuits très lisses et brillants.
L’intérêt de GBS-P51 dans la fabrication des biscuits réside dans le fait que, pour une matière sèche identique, il réduit la viscosité. Ceci permet de réduire la quantité d’eau incorporée et par là-même, de diminuer les coûts énergétiques.
L’addition de GBS-P51 à 0,1-0,6 % permet également de réduire le retreint et l’ovalisation. » [1]
Le but est toutefois d’éviter que le consommateur moyen s’en aperçoive. Car bien entendu, les fabricants savent qu’ils perdront les acheteurs les plus avisés, dont certains se plaignent sur des forums Internet :
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