Publié par LaPresseGalactique.org le 15 juin,
2014 sous Nicolas Tesla
L’électromagnétisme scalaire est une extension de l’électromagnétisme (EM) actuelle qui inclut la gravitation. C’est une théorie unifiée pouvant être directement expérimentée. Ses bases ont été découvertes par Nikola Tesla. Dans l’extension EM scalaire, l’énergie du champ EM peut être transformée en énergie de gravitationnel est vice versa. Cette transformation énergétique peut être structurée et localisée sur des zones ou des objets spécifiques.
La « charge électrique » d’une particule chargée (celle d’un atome ou des protons de son noyau) représente une différence d’intensité (potentiel) de fux entre la particule locale et son vide environnant.
C’est un épanchement continuel de la charge gravitationnelle et de la charge électrique. Si cet épanchement est inversé ou arrêté, il ce produit un effet radical sur la charge gravitationnelle : Le potentiel-5 et la charge-5 deviennent respectivement un potentiel-4-G et une charge-4-G.
En « chargeant » la structure EM scalaire d’un objet, on le charge aussi gravitationnellement. Un « canal d’épanchement » se produit alors à travers le champ de force 4-G. Dans un noyau les nucléons vont et viennent continuellement entre protons et neutrons, ce qui fait que la charge électrique est « éparpillée » à travers le noyau et partagée par tout les nucléons. Chaque isotope a alors son propre et unique « pattern d’ensemble » de fréquences scalaires d’expansion de Fourrier, d’amplitudes, etc.
Bien que ce pattern peut être reproduit artificiellement et être émis par des émetteurs EM modifiés, il y a cependant, une sorte de pattern (EG) d’EM scalaire « clef maîtresse » pour les nucléons (protons et nucléons s’intervertissent en échangeant des courants de charges virtuels). Si on inverse la charge par l’inversion de cette structure et qu’on applique cette « charge inversée à une masse », pour un observateur externe cette masse paraîtra de plus en plus légère (acquisition d’une masse négative) et son inertie de moins en moins importante (acquisition d’une inertie négative).
L’objet subira alors une accélération l’éloignant de la Terre (il tombera vers le haut au lieu de tomber vers le bas). Cela engendrera aussi d’étranges effets sur le temps, un objet pourra ce déplacer plus lentement à travers le temps que l’observateur dans le laboratoire, ou même ce déplacer en arrière dans le temps par rapport à l’observateur.