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jeudi 8 janvier 2015

Mémoires d’Atlantide



Par Arundhati et Vasistha

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A l’ouest des colonnes d’Hercule, ce que nous appelons aujourd’hui le Détroit de Gibraltar, s’étendait une île entourée d’autres îles plus petites, une île habitée par un peuple hautement civilisé, guerrier, qui occupait lui-même toute une partie des territoires entourant la mer Méditerranée. Derrière cette île, il y avait un continent, l’Amérique, lui aussi en partie envahi par ce peuple civilisé et belliqueux. C’est ce que les Égyptiens enseignèrent à Solon. Cette île, l’Atlantide, fut décriée, sujette à l’ironie, au sarcasme, à la dérision. Du sourire en coin au grand rire de déni, elle a souvent été rejetée, au mieux considérée comme un mythe, une légende.

Remonter le fil.

Ces derniers temps, une conscience nouvelle arrive sur Terre. En cette époque de bouleversements intimes de l’humanité, des mémoires anciennes affleurent et, troublant le paisible de notre vision de l’histoire, vont jusqu’à crever le voile du Temps, comme autant de bulles parfois malodorantes qui percent la surface d’un lac trop policé, trop raisonnable. Depuis des années, l’accompagnement que nous, Arundhati et Vasishta, proposons, nous a régulièrement amenés à revisiter ces mémoires ancestrales pour aider telle personne à se libérer d’émotions autrement incompréhensibles, telle autre à apaiser des pulsions pénibles… Chaque fois que nous remontons le fil de ces mémoires, la personne retrouve le sens de son histoire, celui de son incarnation présente où se concentre la plupart des problématiques liées à l’expérience atlante et celui développé au cours d’incarnations successives où se rejouent sporadiquement les drames vécus à cette époque lointaine.

Une mémoire collective.

Les mémoires atlantes ne sont pas toujours les plus « à fleur de peau ». Mais elles ressurgissent périodiquement avec, chaque fois, une charge émotionnelle éprouvante. Nous pouvons aller jusqu’à dire, après toutes ces années d’expérimentation et d’exploration, qu’il s’agit d’une mémoire collective, plus ou moins vive, qui vogue du plus agréable descriptif au plus trouble des tableaux. Ces dernières forment un limon psychique qui empêche encore bien des gens d’avoir accès à leur pureté intérieure. Cette fange, qui salit l’inconscient, freine l’éveil de nombreuses personnes et, en conséquence, l’épanouissement d’une civilisation harmonieuse, sinon harmonique.



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