La vieillesse n’existe pas dans le royaume d’Agharta, ni
la mort. C’est une société où chacun paraît jeune, même s’il est âgé de
plusieurs centaines d’années. Cela semble incroyable aux habitants de la
surface exposés aux effets nocifs des radiations solaires et d’une mauvaise
alimentation. Mais il faut savoir que les symptômes de la vieillesse ne sont
pas le résultat naturel du temps qui s’écoule. Ils sont l’expression de
mauvaises conditions biologiques et d’habitudes néfastes. La sénilité est une
maladie, et comme les habitants de l’Agharta sont exempts de maladie, ils ne
vieillissent pas.
Dans le royaume d’Agharta, les sexes vivent
séparés. Le mariage n’existe pas. Chacun est libre et indépendant, et la femme
n’a pas besoin du soutien de l’homme. La reproduction se fait par
parthénogenèse, et les enfants nés de cette façon sont tous du sexe féminin.
Dans cette civilisation matriarcale la femme est considérée comme le sexe
parfait et supérieur. Les enfants sont élevés par la collectivité. Il n’y a
donc pas de foyers, au sens où nous l’entendons.
La culture scientifique très développée du peuple
souterrain signifie une chose : c’est que ces gens ont exploité au maximum les
possibilités de l’intelligence humaine. Et comment y sont-ils parvenus ? En
faisant converger vers leur cerveau toutes leurs énergies vitales au lieu de
les disperser dans des activités sexuelles dégradantes. En réalité, les
problèmes sexuels, qui sont la préoccupation importante de notre monde, ne
perturbent absolument pas celui-là. Grâce à leur régime à base de fruits et de
légumes, les êtres souterrains ont des glandes endocrines qui fonctionnent
harmonieusement, comme celles des enfants, et leur métabolisme n’est pas
contrarié par un afflux de toxines alimentaires ou d’aphrodisiaques tels que le
poivre, le café, le tabac ou l’alcool. En évitant d’alourdir ainsi leur sang et
de s’intoxiquer à longueur de journée, comme nous le faisons, nous, à la
surface, ces gens sont capables de vivre dans une abstinence totale, et ils
peuvent alors consacrer toute leur énergie vitale à une activité supérieure du
cerveau.
L’Agharta, ou la quête d’un monde caché.
Le professeur de Souza, dans la revue de la
Société théosophique brésilienne, a écrit un article concernant ce royaume
mystérieux. Nous en extrayons les passages suivants « Dans toutes les races
humaines, et en remontant jusqu’à l’aube des temps, on retrouve les mêmes
traditions concernant l’existence d’une terre sacrée, ou Paradis terrestre,
dans laquelle les idéaux les plus élevés de l’humanité sont devenus des
réalités vivantes. Dans les écrits les plus anciens, que ce soit en Europe ou
en Asie Mineure, en Chine, en Inde, ou en Egypte, ou encore en Amérique, il est
fait mention de cette terre sacrée, connue seulement des gens qui en sont
dignes par leur pureté et leur innocence.
« La route qui conduit à ce monde invisible, et
qui relève du domaine ésotérique, constitue la quête essentielle de tous les
enseignements occultes et la clé maîtresse de toute initiation, dans le passé,
le présent et le futur. Cette clé magique est le » Sésame, ouvre-toi
» qui donne accès à un monde nouveau et merveilleux. Les vieux
Rosicruciens le désignaient par le mot français VITRIOL, qui est une
combinaison des premières lettres de la phrase : VISTA INTERIORA TERRAE
RECTIFICANDO INVENES OMNIA LAPIDEM – ce qui veut dire qu’à l’intérieur de la
Terre est caché le vrai mystère. Le chemin qui mène à ce Monde caché est la
voie de l’Initiation.
« Dans la Grèce ancienne, les Mystères de Delphes
et d’Eleusis situaient cette terre céleste sur le mont
Olympe et dans les Champs Elysées. A l’époque
Védique elle portait divers noms, comme Ratnasamu (Pic de la pierre précieuse),
Hermadri (Montagne d’or) et mont Meru (Résidence des dieux et Olympe des
Hindous). Symboliquement, la cime de cette montagne sacrée se dresse dans le
ciel, la partie centrale correspond à la Terre, et la base s’identifie au Monde
souterrain.
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Houla! Il est temps de prendre du recul avec ce genre de "littérature"...!
RépondreSupprimer-"La reproduction se fait par parthénogenèse, et les enfants nés de cette façon sont tous du sexe féminin"...
Hum, alors je suppose que les garçons sont fait "à l'ancienne"...et qu'ils sont très minoritaires.
-"Dans cette civilisation matriarcale la femme est considérée comme le sexe parfait et supérieur"...
Hum hum, sans blague! Cette considération pourrait-elle être différente...?
-"Les enfants sont élevés par la collectivité"
Ben voyons! Et dire que c'est vers ça qu'on va déjà avec toutes les lois destructurant la famille... Ce serait donc ça l'aboutissement d'une société matriarcale? ...Une société où les femmes se déchargent de leurs responsabilités de mères sur le dos de la société entièrement dévouée à elles...?
Je prie pour que cette horreur n'arrive jamais!
Ce genre de monde est forcément l'enfer, car il ne convient certainement qu'aux femmes ...car il ne convient absolument pas aux hommes et aux enfants!
On est loin du monde idéal ...qui lui convient forcément à tout le monde...!
gwendal
Mon bon ami, votre vision est un peu courte de leur situation...si vous aimeriez en savoir plus sur le sujet des villes intérieurs et leur société, je vous suggère le livre Telos aux Éditions Ariane. Vous verrez ce qui en est de leur type de société 5D....où il n'y a pas d'argent et où le travail est volontaire...leur contribution à celle-ci..
SupprimerD'imaginer que l'éducation des enfants est un devoir ou responsabilité collectif est si étrange?? dans ce contexte que je mentionnais?? ..ou c'est une preuve d'évolution....pas de carcan!! ni lois...ni règlements...juste notre jugement...en considérant le meilleur pour nous-même..en même temps que le meilleur pour la société!!
Humm...ça sens bon!!!