Message de
St Germain reçu par Agnès Bos-Masseron le 11-1-15
La France se
souvient-elle du sens profond de la liberté ?
Puisse Paris se
souvenir du sens profond de "ville lumière".
Si l'on voulait
parler en termes de ce temps linéaire, Paris se souvient-il, dans cette
apparence de temps qui n'existe pas et qui pourtant a été une époque tourmentée
pour la France et pour Paris, je suis venu rayonner l'énergie de l'amour,
l'énergie de la compassion, l'énergie de sagesse, cette sagesse qui sait que
seul est le cœur et que tout être est divin et précieux, si précieux.
…Encore et
toujours, nous venons rayonner sur Paris cette évidence de la fraternité
humaine, de la beauté de l'incarnation, de la divinité de l'être humain.
Précieux est chaque être. Comment ont-ils pu l'oublier ?
…Vous savez,
n'est-ce pas, à quel point Paris est une ancre, une clef même, dans cet éveil
mondial. Vous le savez, Paris est ville lumière. Ce n'est pas par les
illuminations dans les rues. Ce n'est pas par les places. Ce n'est pas par
toutes ces statues qui rappellent la liberté, la fraternité, l'égalité, la
divinité. Paris dans son énergie même, dans son essence, est ville lumière
érigée sur l'un des points forts du globe, relié à bien des points de
rayonnement.
…Il fallait que
cette célébration* soit maintenant, non seulement dans ce maintenant de
l'au-delà du temps mais dans ce maintenant inscrit dans le temps, de même qu'il
fallait que j'apparaisse à la cour de vos rois en cette période de transition
entre monarchie et république. La situation est analogue.
Là encore, nous
appelons chaque être humain à incarner le sens profond et véritable de la
fraternité. Nous appelons chaque être humain, à se souvenir que chaque
tradition a sa source qui est son au-delà même et que l'humanité est une dans
cette source de toutes les traditions. Quels que soient les noms des prophètes,
quels que soient les noms de ceux qui sont adorés comme les représentants du
Divin, eux savent que ce qui est adoré est l'adoration même, la puissance de
l'amour, la beauté de la fraternité, cet esprit du vivant, la conscience.
…Unissons-nous
pour embraser Paris, l'Europe, la terre et toutes ces âmes passées en apparence
dans l'au-delà des corps, leur offrir la tendresse de l'évidence que l'humanité
est une fraternité. Leur rappeler la beauté, si l'on veut simplement regarder
la beauté au lieu de se figer dans des modes durcis, des modes de jugement, si
l'on veut simplement regarder la beauté.
Il en est qui
errent encore, s'accrochant à quelques chimères. Nous proclamons la victoire de
la lumière ! Ces fantômes mensongers, porteurs de mensonges, qui veulent
crisper les âmes dans quelques chimères illusoires…
L'heure est venue
de vous rendre à l'évidence de votre propre victoire. Seule est la lumière.
Rien ni personne ne viendra diminuer cette évidence. A la face de la terre,
nous proclamons la victoire ! Quels que soient les restes d'intrigue de
ceux qui s'accrochent à quelques chimères mensongères, nous proclamons la victoire.
Rappelez-vous votre beauté, car seul est le Un, n'est-ce pas ? La
perfection de la vie, le précieux de la vie, le précieux de cette conscience
éternelle qui perdure.
Bas les
masques ! Puissent ceux qui errent entendre la voix de l'amour, se
retourner et oser recevoir mon regard. Par amour pour l'amour que tu es, oser
recevoir le regard de l'amour.
…Nous offrons les
torrents de tendresse pour que soient lavées les larmes de ceux qui ne savent
pas voir que les deuils appartiennent aux chimères, que le vivant est
l'éternelle victoire. Bénies ces âmes qui en apparence ont quitté l'enveloppe
corporelle. En apparence, car on ne la prend jamais, on ne la quitte jamais.
Cela fait partie du grand jeu.
Puisse maintenant
sur Paris s'inscrire la voix de la fraternité.
…Bénie l'humanité.
Béni l'esprit de fraternité. Béni le triomphe du bien et du beau. Béni cet
amour de la liberté.
La France se
souvient-elle du sens profond de la liberté ? L'humanité s'en
souvient-elle ? Libre celui ou celle qui a brisé les jougs des apparences
et qui sait que seule est cette conscience amour silence, cette infinie
tendresse, cet océan de compassion, cet océan de joie qu'est la vie tendre et
exultante incarnée.
Bénie la liberté
offerte à chaque être d'actualiser le triomphe de cette incarnation, le
triomphe de l'évidence que la chair est conscience, lumière, amour, que chaque
être est l'éternelle flamme, flamme de dévotion offerte à cette vie même, cette
conscience, cet Être suprême, cet éternel au-delà, cet éternel mystère, cette
éternelle beauté.
Bénis ceux et
celles qui retrouvent le sens profond de la liberté. Bénis ceux et celles qui
chérissent ce sens profond. Béni ce lieu.
S'unir en
conscience à l'infusion de lumière. S'unir en conscience à la conscience de
chaque être dont le cœur palpite dans ce Paris qui reste pilier et clef même.
Encore et
toujours, je proclame la victoire de la liberté, de la fraternité, de la
conscience, de la vie, victoire sur toutes les illusions et toutes les
chimères.
Puisse Paris
baigner dans le rayonnement de tendresse, dans l'infusion de lumière. Puisse
Paris se souvenir du sens profond de "ville lumière".
Nous vous
remercions.
Note : Ce
message a été reçu lors de l'inauguration du centre du Fauteuil de Lumière à
Paris. Vous pouvez lire l'intégralité du message dans la rubrique
"Messages des Gardiens de la Flamme", du site http://www.fauteuildelumiereascensionnelle.com/
Site : http://anandamath.free.fr/
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