Fils d’un
diplomate canadien basé en Amérique du sud, Benjamin Fulford part faire des études de journalisme à Tokyo dans
les années 80, après avoir passé cinq ans dans une tribu amazonienne.
À la fin
de son cursus universitaire, il est embauché par le magazine Forbes Asia, au
sein duquel il va gravir les échelons jusqu’à en devenir directeur de
publication. À ce titre, il sera amené à côtoyer nombre de ministres de la
zone Asie, et en gardera un carnet d’adresse qu’on imagine épique. Il a
également animé un talk show d’économie, en prime time sur un des principaux
networks japonais. Au pays du soleil levant, c’est un journaliste connu, qui a
vendu plus d’un million de livres sur les quelques-uns qu’il a publié. Au
début des années 2000, il va claquer la porte de Forbes en publiant, contre
l’avis de sa hiérarchie, une enquête sur la corruption mettant en cause le
ministre des finances japonais d’alors.
A la suite de quoi il sera contraint de basculer dans la clandestinité, et se verra alors offrir l’aide et la protection de la Société du Dragon Blanc, dont il se fera occasionnellement le porte parole auprès des occidentaux au pouvoir sur notre planète.
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