Porté à
votre conscience par Arcturius,
le 21 avril 2014
le 21 avril 2014
Extraordinaires, improbables empreintes cosmiques de l’instant de la naissance de notre Univers, ces ondes gravitationnelles resteraient donc perceptibles aujourd’hui. Une trace qui s’intègre au fameux fond diffus cosmologique, ce rayonnement fossile datant de 380 000 ans après la Big Bang et détecté en 1964 par Arno Penzias et Robert Wilson,prix Nobel 1978. Déjà, on parle de John Kovac et de Clement Pryke pour un prochain prix Nobel. Leur découverte, si elle est confirmée, vérifie une prédiction d’Albert Einstein dans sa théorie de la relativité générale. Selon lui, il s’agit de déformations de l’espace-temps qui se propagent dans l’espace comme des ondes à la surface de l’eau. Jamais, pourtant, les physiciens n’ont réussi à les observer directement même si Russell Hulse et Joseph Taylor, prix Nobel 1993, ont mis leur existence en évidence en 1974 grâce à l’observation d’un pulsar binaire.
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