EXTRAIT du livre : La Terre Creuse de Raymond Bernard
aux Editions Albin Michel
Autre confirmation de la découverte de l’amiral
les relations d’individus affirmant qu’ils étaient entrés dans la dépression
polaire nord (comme beaucoup d’explorateurs de l’Arctique le firent sans le
savoir) et avaient atteint le Monde souterrain dans l’intérieur creux de la
Terre.
Le Dr Nephi Cottom, de Los Angeles, a rapporté
qu’un de ses patients, un homme d’origine nordique, lui avait fait le récit
suivant « J’habitais près du cercle arctique, en Norvège. Un été, je décidai
avec un ami de faire un voyage en bateau et d’aller aussi loin que possible
dans le Nord. Nous fîmes donc une provision de nourriture pour un mois et
primes la mer. Nous avions un petit bateau de pêche muni d’une voile, mais
aussi d’un bon moteur.
« Au bout d’un mois, nous avions pénétré très
avant dans le Nord, et nous avions atteint un étrange pays qui nous surprenait
par sa température. Parfois il faisait si chaud la nuit que nous n’arrivions
pas à dormir.
(Les explorateurs arctiques qui se sont enfoncés
dans les régions polaires ont fait de semblables observations sur ces hausses
de température qui parfois les poussaient à ôter leurs lourds vêtements chauds.
– L’AUTEUR.)
« Nous vîmes plus tard quelque chose de si étrange
que nous en restâmes muets de stupeur. En pleine mer, devant nous, se dressait
soudain une sorte de grande montagne dans laquelle, à un certain endroit,
l’océan semblait se déverser ! Intrigués, nous continuâmes dans cette
direction, et nous nous trouvâmes bientôt en train de naviguer dans un vaste
canon qui conduisait au centre du globe. Nous n’étions pas au bout de nos
surprises. Nous nous rendîmes compte un peu plus tard qu’un soleil brillait à
l’intérieur de la Terre!
« L’océan qui nous avait transportés au creux de
la Terre se rétrécissait, devenait graduellement un fleuve. Et ce fleuve, comme
nous l’apprîmes plus tard, traversait la surface interne du globe d’un bout à
l’autre, de telle sorte que si on en suivait le cours jusqu’à son terme on
pouvait atteindre le pôle Sud.
« Comme nous le constatâmes, la surface interne
de notre planète comprenait des étendues de terre et d’eau, exactement comme la
surface externe. Le soleil y était éclatant, et la vie animale et végétale s’y
développait abondamment.
« Au fur et à mesure que nous avancions, nous
découvrions un paysage fantastique. Fantastique parce que chaque chose prenait
des proportions gigantesques, les plantes, les arbres… et aussi les êtres
humains.
Oui, les êtres humains ! Car nous en
rencontrâmes, et c’était des GÉANTS.
« Ils habitaient des maisons et vivaient dans des
villes semblables à celles que nous avons à la surface, mais de taille plus
grande. Ils utilisaient un mode de transport électrique, une sorte de monorail
qui suivait le bord du fleuve d’une ville à l’autre.
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