Le 30 juin 2013
Le dimanche 23 juin, les abus des forces de
l’ordre ont soufflé sur les braises de la Résistance française : gazage et
matraquage sans sommation en tout genre, Police Politique pour tous !
Merci
donc pour ces gardés à vue, car il faut l’avouer, nous manquions cruellement
d’actualité… Fort heureusement, les suppôts de Valls ont volé à notre secours
pour nous permettre de (re)bondir sur eux !
N’ayons
pas peur des mots : nos dirigeants se donnent beaucoup de mal pour que La
France devienne lentement mais sûrement la honte des droits de l’homme, le
berceau du néo-communisme, la larve du totalitarisme.
Face
à ces récents événements aux relents marxistes s’est levé le dernier-né des
anti, la Résistance réinventée, la Révolte au cœur d’Or : Les Veilleurs
Debout.
Le Veilleur Debout – cet anonyme insolent
et silencieux – irrite fortement notre gouvernement puisqu’il n’enfreint aucune
loi mais qu’il fait paradoxalement grand bruit. Et ce n’est pas pour nous
déplaire !
Alors depuis presque une semaine, et ce partout en France, face à n’importe quel bâtiment représentant un symbole d’autorité, des centaines de Français veillent debout !
Veiller
debout ? Pas si fou. Lire, manger, fumer, prier ou réviser, vous êtes
libres d’occuper votre veille comme bon vous semble tant que vous restez
silencieux et debout sans aucun signe de ralliement apparent.
C’est
sans un mot que les gens se relaient jour et nuit, opinant du chef dans votre
direction à leur arrivée ou laissant quelques victuailles pour les suivants à
leur départ… De temps en temps, un doublet de klaxon retentit, suivi d’une
clameur solitaire et passante : « Bravo les Veilleurs ! On ne
lâche rien ! »
Relatée
de la sorte, l’idée paraît saugrenue et bien inutile, mais pour m’être déjà
jointe à eux pendant une heure et demie, je peux vous assurer qu’il se passe
quelque chose de très fort et d’inexplicable. Interloquée, une grande majorité
de passants demande ce qui se passe, et pas un véhicule ne croise devant le
Palais de Justice sans ralentir. C’est ahurissant, grisant, puissant !
L’atmosphère
qui règne au pied de ces monuments est surréaliste. Des dialogues apaisés
naissent aux abords des marches, des magistrats fulminent… Il règne comme une
ambiance de temps suspendu.
Ce nouveau concept reste du jamais vu dans notre
Histoire de France, sûrement le meilleur mouvement jamais entrepris, car il ne
laisse personne indifférent. Pas même le veilleur debout qui, seul avec
lui-même, paraît engager un réel face à face avec l’Institution choisie :
« Méfie-toi, géant de pierre, nous veillons
pour le moment, mais si tu dépasses les bornes, nous avancerons, et ce Palais,
nous l’envahirons…
A l’instar des paroles de Camus : plutôt mourir debout que de vivre à genoux. »
Car
telle est bien la devise de ces sentinelles d’un nouveau genre. Le combat s’est
élargi, et leur courage aussi.
Note : Ce texte provient d'un courriel que j'ai reçu. - Michelle -
Note : Ce texte provient d'un courriel que j'ai reçu. - Michelle -
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