C'est un sujet dont parle David Wilcock, dans son livre : " The Source Field Investigations". Il en parle aussi dans ses émissions hebdomadaires sur GAIAM TV. La nature de l'ADN est encore très peu explorée.
L’effet de l’ADN Fantôme Une preuve sensationnelle pour la théorie de
Pitkänen est basée sur les travaux d’une équipe de chercheurs
inter-disciplinaires de l’Académie de Sciences de Moscou, sous la
direction du biologiste moléculaire et biophysicien, Dr. Pjotr. P.
Garjajev. Garjajev et son collègue, le physicien quantique, le Dr.
Vladimir Poponin, ont fait une observation insolite en mesurant les
vibrations émises par des échantillons d’ADN. Ils ont irradié un
échantillon d’ADN avec la lumière laser, et ont obtenu, sur un écran, un
modèle typique d’ondes. S’ils enlevaient l’échantillon d’ADN, ces ondes
ne disparaissaient pas, comme on pouvait s’y attendre, mais
persistaient, sous forme de structure régulière, comme s’il y avait
toujours un échantillon maétriel. Comme l’ont démontré des
expériences-contrôles, ces ondes devaient provenir, sans aucun doute, de
l’ADN qui n’était plus présent ! Une expérience à vide, c’est-à-dire
sans échantillon, ne donnait qu’une courbe d’ondes aléatoires. L’effet
était reproduisible à volonté, et on l’appelle, aujourd’hui, l’effet
ADN-Fantôme.
L’explication scientifique de ce phénomène est que l’ADN lui-même
semble produire des ondes dans le vide (vacuum), à travers lequel une
vermoulure magnétisée se produit, induite par la présence de matière
vivante, qui peut persister, selon les cas, plusieurs mois – c’est ce
que les recherches de Garjajev et de son collègue ont démontré.
Au début des années soixante, le biologiste britannique Rupert
Sheldrake, de l’université de Cambridge a établi sa fameuse théorie sur
les champs morpho-génétiques. Chaque être humain, de même que chaque
être vivant, laisse une trace invisible de son existence. Pour la
première fois, Pjotr Garjajev a pu rendre visible cette trace dans un
laboratoire.
La question est la suivante : à quoi sert cette trace ? Avec qui ou
avec quoi « chuchotent » nos gènes ? Comment communique l’ADN, et dans
quel but le fait-il ?
Le plus surprenant est que tous les résultats indiquent que l’ADN
n’est soumis à aucune limitation, en ce qui touche à sa faculté de
communication.
Hypercommunication D’après la théorie de Pitkänen, cette
communication ne se fait pas de manière classique, mais à travers les
vermoulures magnétisées, c’est-à-dire hors de l’espace-temps, soit à
travers les dimensions plus élevées de l’hyper-espace. On parle de ce
fait d’hypercommunication. Cette hypercommunication ne paraît pas avoir
un but limité ou particulier : elle représente un point d’intersection
vers ou dans un réseau ouvert – un réseau de conscience ou réseau du
vivant.
Comme dans l’internet, l’ADN peut :
• Introduire ses propres données dans ce réseau • Extraire des
données de ce réseau • Etablir un contact direct avec d’autres
participants de ce réseau.
On peut dire, d’une certaine façon, que l’ADN possède sa propre «
page internet », qu’il peut « surfer » et qu’il peut « chatter » avec
d’autres participants. Ce qui est plus incroyable encore, l’ADN n’est
pas limité à sa propre espèce, comme on pourrait peut-être le croire.
L’information génétique d’êtres différents peuvent également « échanger »
entre eux (entre différentes formes de vie). L’hypercommunication
devient donc la première interface à travers laquelle les formes
d’intelligence les plus variées sont unies, dans l’univers, entre elles.
Lire la suite ici : http://rustyjames.canalblog.com/archives/2010/05/18/17936092.html
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