Source : http://www.anneduquesne.com/article-en-verite-il-n-y-a-rien-a-juger-110702720.html
Jésus, transmis par John Smallman
La rivière du temps — cet aspect de
l’illusion dont beaucoup d’entre vous sont le plus conscients — s’écoule
rapidement et sans à-coups et vous emmène
avec elle avec insistance et d’un pas assuré vers votre destination
divine. En dépit de tous les doutes et de toutes les incertitudes que
vous puissiez entretenir votre arrivée est garantie,
divinement garantie. Lorsque des doutes ou des inquiétudes
surgissent en vous, concentrez-vous sur la certitude absolue de cette
promesse, sachant, comme vous le faites très certainement, que
l'Amour de votre Père pour vous vous attire irrésistiblement vers la
maison.
Vous avez un dicton : « Là où est
votre maison là est votre cœur ». Et le cœur de votre Soi véritable est
éternellement chez lui avec votre Père céleste.
Néanmoins, il ne semble pas que ça soit le cas lorsque vous luttez
avec les problèmes et les angoisses sous lesquels l’illusion se présente
continuellement à vous, tandis que vous vous efforcez
avec détermination de trouver un moyen d’en sortir pour revenir à
cet état glorieux.
Au moment où un nombre toujours
croissant d’entre vous décide qu’ils en ont assez de cette folle
souffrance et se décident à y mettre un terme, votre effort devient
plus diligent et plus efficace. Et parce que c’est votre intention
spirituelle et que vous êtes divinement assistés, rien ne peut empêcher
votre réveil de se produire exactement comme c’est
divinement prévu.
Tout ce que vous avez à faire est de
maintenir votre attention sur votre intention de vous réveiller, et de
franchir les étapes personnelles essentielles qui vont
avec cette intention en libérant votre esprit de toutes les pensées
et de toutes les idées irréelles. Seul l’Amour est réel. Il est donc
très facile pour vous d’identifier ce que vous avez besoin
de libérer, et vous recevez une aide abondante de ceux des royaumes
spirituels pour faire de cette libération un jeu d'enfant.
Vous pouvez parfois avoir le
sentiment que certaines offenses sont impardonnables, en particulier si
l’auteur prétend soit qu’il était dans son droit, soit que les
faits ne se sont pas produits. Souvenez-vous cependant que vous êtes
tous des miroirs les uns des autres, et que ce qui vous déplaît le plus
chez les autres ou ce avec quoi vous n’êtes pas
d’accord, est souvent quelque chose que vous devez résoudre en
vous-mêmes.
Commencez donc par examiner en toute
honnêteté toutes les attaques que vous avez initiées ; souvenez-vous des
circonstances, et déterminez si vous sentez
encore que vous devriez y répondre de la même manière et avec la
même intensité. Peut-être que maintenant, bien après l'événement, vous
préféreriez oublier qu'il est jamais arrivé ? Si vous
avez récemment réussi à vous sevrer d’une habitude que vous n'aimiez
pas ou dont vous étiez devenus honteux, rendez-vous compte aussi que
l'observer chez les autres vous agace encore et que vous
vous retrouvez peut-être avec un intense besoin de faire du
prosélytisme et de leur inculquer vos propres croyances. Alors,
rappelez-vous l’amertume ressentie quand d'autres ont essayé ces
méthodes sur vous !
Il s’agit véritablement d’être
conscients de votre humanité et des défauts qui vont avec cet état.
« L’échec est humain » est un cliché bien connu, mais
il est maintenant temps d'apprendre que le seul moyen de sortir de
ce cercle d'échec est le pardon.
Tout d’abord, comprenez que vous vous
êtes mal conduits et respectez les raisons que vous vous donniez d’agir
ainsi : les circonstances atténuantes telles que
vous les avez vues à l’époque. En suite, à la lumière de votre
nouvelle compréhension, pardonnez-vous d’avoir réagi trop rapidement sur
le champ, comme le font beaucoup de gens, au lieu de
répondre après mûre réflexion. Admettez que vous, comme les autres,
n’êtes pas parfaits et ne pouvez jamais l’être en étant incarnés au cœur
de l’illusion mais que, néanmoins, ce n’est jamais
votre intention de réagir en attaquant ou en offensant les autres.
Utilisez cette soi-conscience pour vous démontrer que vous faites des
progrès parce que vos intentions sont bonnes, même si vous
ne parvenez pas toujours à les poursuivre jusqu’à leur conclusion.
Pardonnez-vous, faites des excuses si c’est nécessaire et si c’est
possible et puis avancez sans vous appesantir sur ce qui a pu
être. Ce qui est fait est fait, et vous avez appris une précieuse
leçon.
Une fois que vous avez commencé à
vous voir sous ce jour, il devient plus facile de pardonner aux autres
leurs erreurs. Après avoir commencé sur cette voie vous
allez vous retrouver en train de vous demander pourquoi quelqu’un se
conduit mal, et d’admettre que c’est un appel à l’amour auquel vous
pouvez alors répondre de manière appropriée, au lieu de
réagir avec colère à sa mauvaise conduite. Votre nouveau
comportement va vous apporter beaucoup plus de paix que l’ancien, et
votre niveau de stress va diminuer. Être quelqu’un d’aimant est bon
pour vous et pour votre santé !
Et chaque fois que vous douterez de
votre valeur pour la société, pour le monde, ou pour Dieu, rappelez-vous
avec fermeté que vous êtes des êtres divins qu’Il a
créés parfaits, et que vos expériences du contraire, si réelles et
si douloureuses qu’elles peuvent sembler, sont totalement illusoires et
qu’elles auront disparu quand vous vous réveillerez. En
tant qu’enfants bien-aimés de Dieu votre valeur est infinie parce
que l’Amour est votre essence éternelle et immuable. Détendez-vous dans
la connaissance de cette divine vérité que vous pouvez
trouver à l’intérieur de vous quand vous lâchez les jugements parce
que, en Vérité, il n’y a rien à juger.
Votre frère qui vous aime, Jésus.
Traduction AD
Page d’origine : http://johnsmallman2.wordpress.com/2012/09/30/in-truth-there-is-nothing-to-judge/
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire
Remarque : Seul un membre de ce blog est autorisé à enregistrer un commentaire.