par Sylvie SimonArticle publié le 16 juillet 2013 sur naturavox.fr
Cela fait des années que la chimiothérapie est dénigrée par de très 
nombreux cancérologues, français et américains et non des moindres, ont 
osé exprimer leur doute quant aux guérisons obtenues par les voies 
classiques.
Hardin B Jones, alors professeur de Physique médicale et de 
Physiologie à Berkeley, avait déjà communiqué en 1956 à la presse les 
résultats alarmants d’une étude sur le cancer qu’il venait de mener 
durant vingt-trois ans auprès de cancéreux et qui l’avait conduit à 
conclure que les patients non traités ne mourraient guère plus vite que 
ceux qui recevaient la chimiothérapie, bien au contraire. « Les patients
 qui ont refusé tout traitement ont vécu en moyenne douze ans et demi. 
Ceux qui se sont soumis à l’intervention chirurgicale et aux autres 
traitements traditionnels ont vécu en moyenne trois ans seulement[1]. » 
Et le Dr Jones soulevait aussi la question des sommes fabuleuses 
engendrées par le « Cancer business ». Les conclusions déstabilisantes 
du Dr Jones n’ont jamais été réfutées. (Walter Last, The Ecologist, vol.
 28, n°2, Mars-avril 1998.)Le 4 octobre 1985, le Pr. G.eorges Mathé confirmait à L’Express : « Il y a de plus en plus de cancers parce que le dépistage est beaucoup plus précoce, mais on ne les maîtrise pas aussi bien qu’on le dit, malgré la chimiothérapie qui est surtout prônée par les chimiothérapeutes et par les laboratoires [ce qu’il appelait la « cancer-connection], et pour cause : ils en vivent. Si j’avais une tumeur, je n’irais pas dans un centre anticancéreux » (cf. Le Monde, 4 mai 1988).
À lire sur : http://lapressegalactique.net/2013/10/25/il-est-difficile-detre-plus-clair-la-chimiotherapie-ne-sert-a-rien/
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