D'aprés John Lash
Je suis convaincu qu’un changement de portée considérable est imminent sur cette planète bien qu’il ne va pas se manifester, je pense, d’une manière soudaine et spectaculaire.
A bien des égards, il est déjà à l’oeuvre et l’a été depuis un certain temps: il implique une transformation progressive plutôt qu’une rupture soudaine et définitive. Il semble que cela soit la conception d’un certain nombre d’auteurs et de conférenciers sur le sujet de 2012, tels que Daniel Pinchbeck, mais il existe aussi un sentiment croissant d’attente d’une rupture particulière liée à la date du 21 décembre 2012. La transformation progressive en cours peut être comparée à l’accélération régulière d’un jet supersonique jusqu’au moment où la barrière du son est passée et que la déflagration se fait entendre.
On peut ainsi se demander depuis quand cette accélération progressive s’est enclenchée.
Il est peut-être intéressant de penser à Décembre 2012 comme à un point nodal dans le temps autour duquel se groupent des événements, avant et après. Ce concept m’a toujours été très utile dans mes recherches sur les schémas historiques en corrélation avec les cycles planétaires et stellaires.
Ce qui rend l’année 2012 importante, c’est qu’elle a été identifiée comme une date sacrée, que l’on doit distinguer de l’année calendaire profane. Arguelles a, dès le début de ses recherches, souligné que nous sommes entraînés par le schéma linéaire du calendrier Grégorien - tout autant que par le programme patriarcal de rédemption qui lui est attaché, ajouterais-je même. Il tenta donc d’introduire un calendrier de 13 lunes, des cycles de 28 jours, relié (selon lui) à un temps biologique, comme une manière alternative d’archiver ce que nous faisons. La réforme du calendrier par Arguelles a été rejetée comme une corruption des calendriers Maya (ce qui est vrai) mais sa valeur réside, cependant, dans le fait qu’elle nous invite à nous resituer dans un cycle lunaire et biologique.
Un des problèmes relatifs aux spéculations sur le calendrier Maya est qu'une fois que l'année 2012 a été identifiée comme une date sacrée, elle est ensuite traitée comme une mesure, calculée, permutée, analysée, etc. J'ai suggéré, que de tels calculs risquent de concentrer toute l'attention sur eux-mêmes et de nous éloigner de ce qu'il nous faut découvrir dans la progression vers la fin de cycle. La solution de la problématique du Compte Long en termes historiques et expérientiels ne pourra pas être découverte dans le Compte lui-même, à savoir dans quelque schéma grandiose qui y soit encodé, mais bien plutôt dans la “réalité vivante” des éruptions et des occlusions du potentiel humain qui se constellent maintenant autour du point nodal futur de 2012.
L'accélération vers la fin de cycle Maya entraîne la découverte des tribus du Monde à Venir, dans lesquelles la communauté humaine va survivre lorsque la civilisation, telle que nous la connaissons jusqu'à maintenant, va se dissoudre dans le vortex temporel de 2012.
La fin d'une ère n'est pas la fin de la vie sur cette planète; elle est la transition vers un autre mode de vie sur terre. C'est la promesse magnifique de la fin de cycle Maya.
Dans les calendriers Mayas et Aztèques, le monde actuel est appelé Ollin et il est désigné comme le Cinquième Age ou le “Cinquième Soleil”.
C’est un équivalent proche du Kali Yuga des Hindous.
Peu est dit au sujet d’Ollin à part qu’il finira avec du “mouvement”, signifiant peut-être des tremblements de terre, des déplacements de la croûte terrestre, l’effondrement des calottes glaciaires, la montée du niveau des océans, etc.
Ollin signifie aussi “changement de conscience, mouvement mental”. Ce glyphe, curieusement, rappelle deux brins d’ADN enlacés, avec le motif des trois dents et des quatre encoches suggérant les codons à trois lettres composés de quatre bases.
Si je poursuis avec la métaphore que j'ai proposée, le choix essentiel auquel chacun d'entre nous est confronté quant à l'approche accélérée de 2012 pourrait être caractérisé ainsi:
Dans le Monde à Venir, parmi qui voudrais-je être - parmi Colomb et ses équipages, abasourdis face aux tribus indigènes ou bien parmi les tribus elles-mêmes?
“La date mythique se manifeste lorsqu’une série de circonstances se combinent pour produire l’événement.”
D'aprés John Lash
Depuis David Jarry©2012
Je suis convaincu qu’un changement de portée considérable est imminent sur cette planète bien qu’il ne va pas se manifester, je pense, d’une manière soudaine et spectaculaire.
A bien des égards, il est déjà à l’oeuvre et l’a été depuis un certain temps: il implique une transformation progressive plutôt qu’une rupture soudaine et définitive. Il semble que cela soit la conception d’un certain nombre d’auteurs et de conférenciers sur le sujet de 2012, tels que Daniel Pinchbeck, mais il existe aussi un sentiment croissant d’attente d’une rupture particulière liée à la date du 21 décembre 2012. La transformation progressive en cours peut être comparée à l’accélération régulière d’un jet supersonique jusqu’au moment où la barrière du son est passée et que la déflagration se fait entendre.
On peut ainsi se demander depuis quand cette accélération progressive s’est enclenchée.
Il est peut-être intéressant de penser à Décembre 2012 comme à un point nodal dans le temps autour duquel se groupent des événements, avant et après. Ce concept m’a toujours été très utile dans mes recherches sur les schémas historiques en corrélation avec les cycles planétaires et stellaires.
Ce qui rend l’année 2012 importante, c’est qu’elle a été identifiée comme une date sacrée, que l’on doit distinguer de l’année calendaire profane. Arguelles a, dès le début de ses recherches, souligné que nous sommes entraînés par le schéma linéaire du calendrier Grégorien - tout autant que par le programme patriarcal de rédemption qui lui est attaché, ajouterais-je même. Il tenta donc d’introduire un calendrier de 13 lunes, des cycles de 28 jours, relié (selon lui) à un temps biologique, comme une manière alternative d’archiver ce que nous faisons. La réforme du calendrier par Arguelles a été rejetée comme une corruption des calendriers Maya (ce qui est vrai) mais sa valeur réside, cependant, dans le fait qu’elle nous invite à nous resituer dans un cycle lunaire et biologique.
Un des problèmes relatifs aux spéculations sur le calendrier Maya est qu'une fois que l'année 2012 a été identifiée comme une date sacrée, elle est ensuite traitée comme une mesure, calculée, permutée, analysée, etc. J'ai suggéré, que de tels calculs risquent de concentrer toute l'attention sur eux-mêmes et de nous éloigner de ce qu'il nous faut découvrir dans la progression vers la fin de cycle. La solution de la problématique du Compte Long en termes historiques et expérientiels ne pourra pas être découverte dans le Compte lui-même, à savoir dans quelque schéma grandiose qui y soit encodé, mais bien plutôt dans la “réalité vivante” des éruptions et des occlusions du potentiel humain qui se constellent maintenant autour du point nodal futur de 2012.
L'accélération vers la fin de cycle Maya entraîne la découverte des tribus du Monde à Venir, dans lesquelles la communauté humaine va survivre lorsque la civilisation, telle que nous la connaissons jusqu'à maintenant, va se dissoudre dans le vortex temporel de 2012.
La fin d'une ère n'est pas la fin de la vie sur cette planète; elle est la transition vers un autre mode de vie sur terre. C'est la promesse magnifique de la fin de cycle Maya.
Dans les calendriers Mayas et Aztèques, le monde actuel est appelé Ollin et il est désigné comme le Cinquième Age ou le “Cinquième Soleil”.
C’est un équivalent proche du Kali Yuga des Hindous.
Peu est dit au sujet d’Ollin à part qu’il finira avec du “mouvement”, signifiant peut-être des tremblements de terre, des déplacements de la croûte terrestre, l’effondrement des calottes glaciaires, la montée du niveau des océans, etc.
Ollin signifie aussi “changement de conscience, mouvement mental”. Ce glyphe, curieusement, rappelle deux brins d’ADN enlacés, avec le motif des trois dents et des quatre encoches suggérant les codons à trois lettres composés de quatre bases.
Si je poursuis avec la métaphore que j'ai proposée, le choix essentiel auquel chacun d'entre nous est confronté quant à l'approche accélérée de 2012 pourrait être caractérisé ainsi:
Dans le Monde à Venir, parmi qui voudrais-je être - parmi Colomb et ses équipages, abasourdis face aux tribus indigènes ou bien parmi les tribus elles-mêmes?
“La date mythique se manifeste lorsqu’une série de circonstances se combinent pour produire l’événement.”
D'aprés John Lash
Depuis David Jarry©2012
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