jeudi 2 juin 2016

La théorie du 100e singe et les champs morphogéniques

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Quand une idée est diffusée dans un groupe social structuré, elle se répand comme une traînée de poudre, de manière exponentielle. Et, arrivée à un certain seuil critique, cette idée se reproduit et se propage d’elle-même.

La théorie de Rupert Sheldrake sur les champs morphiques corrobore en partie le phénomène du centième singe, en y apportant une hypothèse d’explication. 

Les conséquences possibles de cette théorie sur l’effet que nous pouvons avoir autour de nous par les propres changements que nous introduisons dans notre vie à un niveau individuel, peuvent porter à croire que notre responsabilité, au niveau de notre comportement individuel, donc l’importance de ce que nous faisons, pourrait être fondamentale pour parvenir à changer les mentalités et les comportements à plus grande échelle dans le monde, ou du moins, dans la communauté ou société dans laquelle nous vivons.


 

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