lundi 23 mars 2015

Oublier l’Amour n’est pas possible



Publié le

Jésus, transmis par John Smallman

Faire l’expérience de l'Unité n’est vraiment pas si difficile, c’est juste une question d'attente patiente et de consentement à ce que cela se produise. Consentir signifie que vous n’essayez pas de contrôler le moment, la situation, que vous acceptez simplement ce qui se présente, et que si rien ne se présente vous ne vous préoccupez pas à ce sujet parce que le fait que rien ne présente est très, très proche de l'Unité. L'Unité est un état d'attention alerte, un état dans lequel vous observez — vos émotions, vos pensées, votre environnement, les bruits et les odeurs, les gens ou les choses qui passent — mais sans vous attarder sur aucun afin d’être toujours prêts et conscients du suivant, la chose, la pensée, l’émotion, ou la sensation qui se présente dans le « maintenant* », le seul moment qui ait une réelle signification.

C’est un état très paisible dans lequel vous êtes simplement présents, rien de plus, et c’est extrêmement curatif parce les doutes et les angoisses ne vous assaillent pas lorsque vous vous détendez dans cet état paisible de parfait contentement, en n’ayant besoin de rien. Ne soyez pas découragés par le fait que rien ne semble se produire parce que « ce qui se produit » relève de l'illusion, cela vous distrait d'être. L'Unité c’est tout simplement être, et être c’est être ouvert à la création, être ouvert à l'Amour, parce qu’alors votre cœur se dilate, et se remplit, et se réapprovisionne à partir de cet espace aimant infini qui constitue tout ce qui existe.
Ne vous jugez pas, et pardonnez-vous pour tous les jugements que vous avez jamais portés. Lorsque vous êtes pardonnés vous savez que vous êtes libres, mais vous êtes les seuls à pouvoir vous pardonner. Le pardon de quelqu’un d’autre peut être agréable, satisfaisant, mais le seul vrai pardon c’est celui que vous vous accordez à vous-mêmes. Et si vous ne vous êtes pas pardonnés vous-mêmes vous ne pouvez pas pardonner véritablement quelqu'un d'autre. Il y a toujours un « attachement » à l’offense ou au mal que vous tentez de pardonner. Vous ne l'oubliez pas, vous le stockez simplement à l’écart pour vous y référer plus tard au cas où surviendraient une autre offense ou une autre blessure, et vous appelez cela expérience, ou même sagesse !


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