mercredi 8 janvier 2014

Matthew Ward, 5 janvier 2014

Matthew Ward 
 
Avec les salutations affectueuses de toutes les âmes à cette position, c’est Matthieu. Avec le solstice de Décembre un puissant influx de lumière est arrivé, comme pour saluer l’approche de la fin de l‘année et accueillir la nouvelle, avec de chaleureux applaudissements. Et en vérité un salut ô combien mérité ! Chaque fois que vous avez agi sous l’inspiration de l’âme – quelque chose que vous considériez comme un beau geste ou « la bonne chose à faire » – vous avez ajouté de la lumière à votre monde.

Vous pouvez souhaiter revoir le message ci-dessous dans lequel nous avons mentionné toutes les façons où votre société a généré de la lumière en abondance. On se sent reconnaissant pour les myriades de contributions à l’amélioration de votre monde qui déverse ensuite sa propre lumière en grande quantité. (Le message référencé est celui du 15 août 2013). Oui, beaucoup reste à faire et sera fait. L’énergie puissante ne cesse de renforcer la vigueur de toutes les pensées et émotions, donc nous répétons nos conseils ne pas songer aux situations graves avec le cœur lourd, mais au contraire, visualiser la Terre dans une lumière d’or nacrée, ainsi cette image et le désir que vous avez de changements bienveillants se produiront dans l’univers et reviendront avec davantage de lumière. Même si des esprits et des cœurs obtus essaient de conserver le statu quo, les changements vers la paix, la coopération et l’aisance pour tous sont définitivement en chemin, et  plus ils reçoivent d’énergie de lumière, plus tôt ils se manifesteront.S’il vous plait, continuez à faire preuve de discernement concernant toute l’information incluant les articles et les messages canalisés sur Internet. Les principaux média sont toujours sous contrôle dans une large part, insistant sur l’aspect négatif et sur les scandales ; mais il est encourageant de voir que de plus en plus de récits de bienveillance, de partage des ressources et de tentatives réussies de mouvements populaires y sont relatés.
 
Les journalistes font partie de la majorité de la population qui n’ont aucune idée que les membres de notre famille universelle puissent éviter les éventualités de rumeurs, comme la possibilité pour la Corée du Nord de faire exploser des têtes de missiles nucléaires et de dévaster des régions entières, ou que les radiations émises par Fukushima tuent éventuellement des millions de personnes. Ils ne savent pas que ce n’est pas le vœu de Gaïa que ses océans deviennent si chauds que toute vie marine meurt et que toutes ses côtes soient déplacées à des centaines de kilomètres à l’intérieurs des terres, cela n’arrivera pas non plus. La plupart des habitants de la Terre ne savent pas que les fréquences énergétiques dominantes favorisent chez les Chefs d’Etat le choix de négocier plutôt, que celui de faire la guerre, ou que les discussions économiques et diplomatiques qui se déroulent dans les coulisses, ou que quantités de millions d’âmes, font l’expérience du choix d’équilibrer d’autres vies et d’évoluer.

Vous le savez, famille bien aimée, avancez en force et traversez cette nouvelle année, le cœur léger et avec des pensées positives et continuez à répandre la lumière dans votre monde. Vous ETES les changements que vous voulez !

Je parle maintenant seulement en tant que Matthieu. J’ai demandé à ma mère de copier une réponse à notre message du mois de décembre : Votre message était adorable excepté …… que la naissance de Jésus est le motif de cette période sainte. Je crois être quelqu’un d’ouvert et d’intuitif, mais ce que vous avez dit au sujet de Jésus n’ayant pas été crucifié N’EST PAS crédible. Comment quelqu’un d’aussi évolué que vous peut affirmer qu’il ne sait pas quelque chose d’aussi important ?

L’écrivain est une des nombreuses, nombreuses personnes qui croit à l’histoire biblique de la crucifixion. Reconnaître la vérité au niveau de la conscience que vous connaissez au niveau de l‘âme est une partie vitale de l’évolution, et s’accrocher fermement aux mensonges empêche le progrès. C’est pourquoi, j’ai pensé qu’il serait utile de vous dire comment je sais que la Bible diffère dramatiquement de la vérité. Dieu a dit « Oui, c’est le moment », donc je le dirai.

J’ai toujours parlé de mes connaissances personnelles en tant que Matthieu l’apôtre – c’est la plus connue aujourd’hui de toutes mes vies sur Terre – et les milliers d’autres vies qui ont débuté quand l’énergie puissante de l’Archange Michaël a manifesté son premier personnage dans cet univers. La connaissance cumulative de toutes mes incarnations m’a permis d’évoquer des choses que je ne connaissais pas en conscience pendant la vie où je fus connu sous le nom de Matthieu l‘apôtre, cependant, je fais référence à cette connaissance comme je vous l’ai dit au sujet de mes années avec Jésus.

Ma mère connaissait cette incarnation depuis nos toutes premières conversations, il y a vingt ans, et quand elle m’a demandé si je le mentionnerais dans un message, je lui ai dit peut être, un jour, mais l’identité de l’apôtre n’est pas importante. Ce qui est important c’est l’information qu’elle a reçue de moi et d’autres devant aussi être respectée. Les lecteurs des livres et des messages doivent intuitivement connaître la vérité de l’information, et offrir la guidance pour les aider à entendre, à faire confiance et à tenir compte de leur « voix intérieure » dans toutes les circonstances de la vie, c’est une des premières raisons de notre collaboration mère et fils.

Depuis beaucoup de gens croient que tout ce qui est dans la Bible est vrai parce qu’on leur a enseigné que c’était « la parole de Dieu » écrite par des individus inspirés par Dieu. Ce n’est pas le cas. Les innombrables parties erronées de la Bible incluent des erreurs de traductions de l’Araméen aux écrits grecs – l’une d’elle est « le nouveau né dans une mangeoire » tout comme les modifications des traducteurs qui convenaient à leurs croyances personnelles. Celles-ci furent accommodées plus ou moins dans les traductions tardives ; cependant les plus graves déviations des écrits authentiques sont les omissions et les ajouts qui furent délibérément indiqués pour tromper.

Certaines parties de l’ancien testament sont originaires des premiers chefs d’église et d’état. Ces individus avaient une relation intime avec Dieu alors, et pour faire en sorte que le peuple se conforme au désir des chefs, en relation avec le contrôle et la puissance, il était nécessaire qu’ils éloignent le peuple de Dieu. Ils ont concocté un Dieu courroucé et effrayant qui disait à certaines personnes que les autres étaient leurs ennemis, allez-y tuez-les ; et a dit à un père de tuer son fils comme preuve de son obéissance à Ses commandements.
Pendant les siècles qui suivirent, principalement l’Église Catholique a écrit des règles religieuses et les a appelées « Commandements de Dieu » comme pour cimenter son contrôle sur les masses et acquérir des fortunes encore plus vastes. Pour mettre encore plus de distance entre le peuple et Dieu, ils ont ajouté une couche de saints ; et pour les exalter, ils ont institué l’infaillibilité papale et établi le Vatican comme un état indépendant. Ils en vinrent à l’Immaculée Conception, quand Marie enfanta, et en firent la mère vierge de Jésus pour convaincre les masses qu’il était « le seul fils de Dieu ».
Je vais vous dire d’où venait Jésus. L’âme qui s’est incarnée des éons plus tard en tant que Jésus venait du Royaume Christique, le royaume cosmique le plus proche du Créateur, où les premières âmes, les archanges prirent naissance. A un certain point, elles conçurent le royaume angélique suivant et les dieux et les déesses les plus élevés. Ces âmes eurent le choix de rester en tant que pure essence d’énergie amour-lumière du Créateur – ce fut le choix de l’Etre Suprême de cet univers que beaucoup appellent Dieu – ou de s’incarner. Une de ces âmes qui choisit la seconde option est connue dans cet univers sous le nom de Sananda. Cette âme a eu des vies dans d’autres civilisations à travers le cosmos et est le « parent » ou plus précisément, l’âme cumulative de la personne que vous connaissez en tant que Jésus.

Pour continuer avec la Bible, les informations les plus trompeuses sont attribuées aux quatre apôtres, et à qui plus tard au cours de l’histoire on a donné le statut de saint. Certains chercheurs pensent que Luc et moi ont copié des chapitres que Marc avait écrits dans son évangile et les avions ajoutés aux nôtres, mais je suis curieux de savoir pourquoi ils ont laissé de côté Jean, les mensonges flagrants qu’ils ont introduits dans nos évangiles furent mis aussi dans les siens. Certaines versions modernes de la Bible ont abandonné notre sainteté : alors, que dans la vieille édition de ma mère au nom bien porté du roi Jacques, c’est l’évangile selon saint Matthieu, et elle va s’adapter en copiant les chapitres que je demande.

D’abord, je commencerai par décrire Jésus et Marie Madeleine ainsi vous pourrez les imaginer alors que je parle d’eux. Jésus était  sociable, pas aussi vif que Marie mais toujours de tempérament agréable. Il était ce que j’appellerai une figure de commandement – plus grand que la plupart des hommes et plus mince mais fort et musclé, avec une posture droite. Sa peau claire s’était tannée après des années au soleil et ses yeux gris se teintaient parfois de bleu ; ses cheveux étaient châtain clair et longs, comme c’était la coutume, mais il portait la barbe et la moustache taillées de près. Marie était extrêmement joyeuse et c’était une personne délicieuse, une jeune femme gracieuse. Physiquement elle était petite, le teint clair avec des yeux bruns pétillants et des cheveux bruns qui tombaient en cascade.

Tous les deux sont nés dans des familles respectées de haute société, intelligents, bien instruits pour l’époque, et les meilleurs amis pendant des années avant qu’ils ne se marient. Ils ont eu une grande et heureuse famille et après une longue vie bien remplie, ils quittèrent leur corps et migrèrent dans d’autres vies au service de Dieu, dans d’autres lieux de cet univers ; cependant la puissance de leur énergie d’amour-lumière est toujours présente dans les âmes sur Terre, comme ailleurs.
Mais je me suis laissé emporter et j’en reviens à l’évangile de Saint Matthieu. Jeune homme, je me suis mis à conserver un journal des rencontres intéressantes et comme mes notes le mentionnent, j’ai rencontré Jésus, ces écrits étaient sensés servir seulement de référence et du plaisir de lire dans ma vieillesse.

Mes écrits n’ont pas commencé avec la descendance d’Abraham à Joseph, le père de Jésus, mais depuis Saint Matthieu, je vais en parler. Plusieurs mois après que j’ai rencontré Jésus, un homme m’a montré la généalogie qu’il avait recopiée de quelqu’un, qui lui-même l’avait recopiée d’un autre et ainsi de suite. J’ai inséré la liste dans mon journal, j’y ai ajouté la note que son exactitude ne pouvait être vérifiée. Ce n’était pas une société très largement instruite, donc la vérité et la légende furent  transmises d’une génération à l’autre, et il était généralement reconnu que souvent les écrits étaient embellis ou des détails étaient omis par les conteurs successifs. Oui, cela devint « l’histoire » biblique.

Ensuite, il est dit dans Saint Matthieu : « Alors la naissance de Jésus fut annoncée : Quand sa mère Marie eut épousé Joseph, avant qu’ils ne vivent ensemble, elle enfanta du Saint Esprit …. » « Joseph ne la connaissait pas jusqu’à ce qu’elle mit au monde son fils premier né : il lui donna le nom de Jésus. » Rien de tout cela n’était dans mes écrits, et pourquoi le serait-il ? Je n’ai rencontré Jésus que de nombreuses années plus tard, et ni lui ni ses parents ne m’ont raconté quelque chose comme cela. Néanmoins, on me l’a attribué de même qu’on l’a écrit dans d‘autres évangiles pour alimenter la naissance de Jésus version de l’Église Catholique.

De plus, tous mes écrits parlaient d’Emmanuel, le nom par lequel tout le monde l’appelait. Je ne sais pas pourquoi il fut décidé que dans la bible, son nom serait Jésus, et c’est étrange, ou bien sûr, c’est ce qui fut introduit dans ce chapitre : « et ils lui donnèrent le nom d’Emmanuel. » C’est parce que vous le connaissez en tant que Jésus que je me suis toujours référé à lui par ce nom.

En vérité, c’était une époque dure et cruelle. L’assassinat de nouveaux nés et d’enfants mâles en bas âge est vraie – cependant, je ne l’ai pas écrit dans mon journal – de même que la fuite de la famille de Jésus en Égypte et le retour vers leur pays d’origine quand ils furent en sécurité. J’ai écrit ce qu’ils m’ont dit au sujet de leurs expériences de même que les nombreux évènements marquants de la famille pendant les merveilleuses soirées que j’ai passées avec Jésus, sa fratrie et leurs parents. Souvent Marie Madeleine était là aussi, et les conversations étaient joyeuses. Nous parlions l’araméen, s’écartant parfois vers le grec pour faciliter l’expression, et on riait beaucoup car nous ne parlions pas toujours de choses sérieuses. Jésus écoutait attentivement celui qui parlait, et plus d’une fois j’ai vu ses yeux briller quand Marie bavardait d’excitation sur un sujet ou un autre.
En tant qu’enseignant à temps partiel pour les élèves du primaire ou du secondaire – il n’y avait pas alors de terme pour instructeur – j’en vins à la profession de collecteur d’impôts et j’ai croisé Jésus au plus près, dans une rue où des hommes étaient occupés à rassembler et compter des tableaux. Je l’ai reconnu au milieu d’un petit groupe que j’avais eu l’opportunité de connaître le soir précédent, je l‘ai donc salué, il m’a invité à l’accompagner, ce que je fis, et nous avons parlé tout en marchant. C’est ainsi que j’ai raconté notre rencontre, tout en découvrant que nous aimions tous les deux les sports nautiques et que nous avions une affinité mutuelle et Jésus me dit qu’il venait de commencer à parler en public. C’est l’endroit dans mon journal où mes écrits concernant notre amitié a débuté, et j’ai écrit à la première personne – c’était mon expérience.

Pourtant, selon Saint Matthieu : « Et alors que Jésus passait par là, il vit un homme, appelé Matthieu, assis à la caisse des douanes : et il lui dit, Suis moi. Et il se leva et le suivit. ». Manifestement, il n’est pas venu à l’esprit à celui qui a changé mes écrits, que les gens pourraient penser comme c’est curieux que Matthieu puisse écrire de façon aussi maladroite et brève au sujet d’un évènement, à l’origine d’une transformation de vie et très curieusement alors que notre rencontre s’est passée après le « sermon sur la montagne », et qu’avant « j’ » avais écrit dans Saint Matthieu. Il explique pourtant pourquoi on a pensé qu’un collecteur d’impôts était devenu un disciple.
Jésus ne nous appelait pas disciples. Après qu’il fut connu pour ses enseignements, certains du Sanhedrin commencèrent à parler des gens qui participaient à des rassemblements où il les évoquait comme « ses disciples ». La Bible donne ce même nom aux douze, Jésus a rencontré chacun de nous dans ses voyages autour de la mer de Galilée et des amitiés se sont formées, mais il n’a jamais demandé à aucun de nous de renoncer à nos styles de vie et de le « suivre ». J’ai eu la chance de vivre près de chez lui, ce qui m’a procuré la joie d’être en sa compagnie beaucoup plus souvent que les autres « disciples » n’ont pu passer du temps avec lui.

Selon Saint Matthieu : « Jésus a envoyé les douze et leur a commandé…. » Guérissez les malades, purifiez les lépreux, ressuscitez les morts, chassez les démons. » Cela recouvre des compétences qu’aucun de nous n’avait ! Mais nous connaissions les pouvoirs de Jésus du fait que nous les avions approchés, donc quand je suis sorti en mer, je n’avais aucune raison d’écrire dans mon journal, nous nous « sommes émerveillés » que « même le vent et la mer puissent lui obéir » et je ne l‘ai pas fait.
Dans Saint Matthieu, après que Jésus eut rencontré deux hommes « possédés par le démon » il les a exorcisés et les a placés au milieu d’un troupeau de porcs qui « descendait rapidement une pente escarpée en direction de la mer, et périrent dans les eaux « … » Et, voilà, que toute la ville sortit pour aller à la rencontre de Jésus, quand ils le virent, ils le supplièrent de quitter leur côte. »Alors que Jésus me racontait l’évènement ainsi, après qu’il eût raccompagné les entités dans la lumière qui tourmentaient l’esprit des hommes, il a continué son chemin solitaire jusqu’à ce que lui et moi nous rencontrions, et c’est ainsi que j’ai écrit  mon compte-rendu.

La version de l’évangile de Jésus passant quarante jours dans la solitude, où il a refusé d’être tenté par le démon, est une épouvantable diversion du bref commentaire dans mon journal : Jésus aimait passer du temps dans la solitude avec la Nature, où il pouvait parler avec Dieu ou flâner sans but, comme les autres qui le connaissaient bien, j’ai respecté cela en gardant mes distances.
Ce qui devint célèbre comme « le sermon sur la montagne » fut une compilation de quelqu’un à partir de la copie de mes abondantes notes sur de nombreux petits rassemblements où Jésus parlerait, les gens poseraient des questions et il y répondrait – il y eut beaucoup d’interactions. Mais alors que ses enseignements se répandaient et que les foules grandissaient, les gens écoutaient sans interrompre et il évoqua beaucoup de choses qui devinrent le « sermon ». Je ne l’ai pas appelé ainsi. Jésus n’était pas un prédicateur, il était un enseignant passionné de partager ses connaissances. Il savait ce qu’il était sensé faire, et c’était la grande différence entre lui et tous les autres – sa conscience était toujours connectée à son âme et il vivait en conséquence.

Le sermon préserve beaucoup de sa sagesse et de son illumination et bien sûr j’en suis reconnaissant, mais il n’inclut pas certains de ses enseignements importants notés dans mon journal, comme le but des vies multiples ; l’inséparabilité de toutes les âmes ; Dieu est tout ce qui existe dans le monde – tous les gens, les animaux, les plantes, les eaux, l’air, et la terre font partie de Lui et sont sacrés pour Lui. Jésus n’a rien écrit de ses enseignements et il fut heureux que je le fasse.

Mais tout ce qui est dans mon journal pouvait saper l’autorité des chefs corrompus et fut écarté de Saint Matthieu et presque tout ce qui se trouve dans cet évangile ne venait pas de mes écrits. Je n’ai jamais entendu Jésus dire à qui que ce soit « qu’il serait menacé du feu de l’enfer » ou « ….Celui qui épousera celle qui est divorcée commettra un adultère. » Il évoquait les pensées pieuses et les bonnes actions bénéfiques à la vie, pas les conduites « honteuses » – qui auraient été jugées, mais au contraire il disait aux gens « Ne jugez pas, si vous ne voulez être jugés ». Je ne l’ai jamais entendu parler des péchés étant pardonnés – il disait que le « péché » était une erreur d’appréciation ou de bonne action et il a parlé de nombreuses fois aux auditeurs de l’importance de se pardonner mutuellement. Il n’aurait pas dit, « Ne crois pas que je sois venu pour apporter la paix sur terre : Je ne suis pas venu pour apporter la paix, mais une épée »- C’était en opposition avec tous ses enseignements.

Les « paraboles » résonnent comme si Jésus parlait avec colère – jamais au cours des nombreuses fois où je fus présent aux rassemblements, grands ou petits, le fit-il. Et contrairement aux paraboles, il parlait franchement et clairement pour que les auditeurs puissent comprendre – il voulait les éclairer pas les confondre. C’est une chance – ou plus vraisemblablement, ignorant de ce qu’il voulait dire – que ceux qui ont changé drastiquement mes notes laissèrent «  Vous êtes la lumière du monde, » « Laissez briller votre lumière ». et beaucoup d’autres références à la lumière.
Mentionner toutes ces disparités entre mes écrits et Saint Matthieu demanderaient mes commentaires de tout l‘évangile, mais les ajouts les plus critiques sont « le dernier souper » et la « crucifixion et la résurrection de Jésus ». Il est possible que « le dernier souper » puisse provenir de mes notes concernant une des rares fois où Jésus et tous les douze se trouvaient au même endroit et avaient un splendide dîner de fête. C’était après que lui et Marie Madeleine se soient mariés et elle était là aussi, mais c’était de nombreux mois avant le prétendu évènement de la crucifixion. Jésus n’a pas tenu une messe connue sous le nom de « sainte communion » ou dit « En vérité, je vous le dis, l‘un d’entre vous me trahira », et tout ce qui a trait à ce sujet dans Saint Matthieu est tissé de mensonges.
Des mois plus tard, j’ai écrit que j’avais entendu deux hommes discuter près du temple : Le Sanhédrin pensait que crucifier Jésus ferait de lui un martyre et donnerait de l’impulsion à ses enseignements, aussi décidèrent-ils de le faire flageller et ordonnèrent de le bannir du pays – ce qui le discréditerait aux yeux des gens qui l‘oublieraient bien vite.

Quand je l‘ai dit à Jésus, il a dit qu’il ne pouvait éviter d’être battu et banni – aussi comme je l’ai noté dans mon journal, j’ai compris qu’il sentait qu’il était important de le laisser survenir. Cela arriva, et peu après, lui et Marie Madeleine partirent pour l’Extrême Orient, où il savait qu’ils seraient les bienvenus. Dans plusieurs de nos premières conversations il m’avait parlé de ses jeunes années là bas, où il avait appris des maîtres comment réaliser ce que la Bible appelle des « miracles », mais comme Jésus l’a dit aux multitudes, chaque chose qu’il faisait, ils pourraient aussi le faire.
Tout au long des années, nous sommes restés en contact avec des lettres occasionnelles et quand l’une d’elle arrivait, je l’insérais dans mon journal – par la suite il y en eut des douzaines. Pour trouver de nouveaux élèves, je devais me déplacer de temps en temps, ce qui m’offrait de grandes opportunités de rencontrer des gens qui savaient que je connaissais Jésus et qui voulaient entendre ses enseignements. De temps en temps je voyais Luc, qui parfois avait des nouvelles de l’un ou de l’autre parmi les « disciples », mais notre lien commun était Jésus, et après son départ, il était naturel que nous continuions tous sur des chemins séparés.

Après ma mort dans ma vieillesse, l’aubergiste a vendu le coffre dans lequel je gardais mon journal. Finalement il tomba entre les mains de quelqu’un au gouvernement et avant d’être brûlé, finit par devenir l’Évangile selon Saint Matthieu.

En aucune façon, ce que je vous ai dit ne diminue d’un iota le pouvoir de Jésus ou l’exactitude de ses enseignements ! La vérité de sa vie – il avait une femme et des enfants, et il avait des désirs, des idées, des espoirs, des amis, de l‘opposition, des déceptions, des chagrins et des périodes heureuses comme les autres personnes – bien plus respectables sont ses enseignements que la fausse revendication de la religion qu’il était le « seul fils de Dieu ».

Rien de ce que j’ai dit ne signifie que les gens qui croient que la Bible sont les paroles de Dieu voient leur générosité diminuée – ils sont seulement désinformés. Chaque âme effectue son propre voyage vers la lumière de la vérité et il n’y a pas de limite de temps – la vie de l’âme est éternelle. Si des personnes que vous chérissez ne sont pas sur le même chemin que vous, en toute confiance continuez le vôtre et respectez leur droit divin de choisir le leur.

Et maintenant, famille de la Terre bien aimée, je parle à nouveau pour tous ceux d’entre nous de notre position. A tout moment, nous sommes à vos côtés spirituellement et dans l‘amour inconditionnel.
AMOUR et PAIX

Suzanne Ward
Traduit par Danièle
www.matthewbooks.com
Source : http://terrenouvelle.ca/Messages

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